Présents : Paul, Dgé, PA, Perrine, Nico, Agathe et Mika (Magnan) & Flo (GSV)
TPST : 12h en moyenne (-1h30 pour le premier binôme ; +1h pour les déséquipeurs)
Sortie proposée par Paul lors du barbecue du Martel de décembre, afin d'atteindre le fond du Cappuccino. Les spéléos du GSM sont venus en nombre, tout comme le GSV... ou pas...
Paul fixe le RDV à 9h au parking de Pré du Lac pour prendre un café et se répartir dans les voitures. On monte rapidement au Col de l'Ecre, on se prépare et chacun porte un peu de matos. Certains plus que d'autres, voir beaucoup plus ! Paul et son sherpa nous a tous concurrencé haut la main !
La marche d'approche se fait tranquillement ; Dgé prend des repères sur son GPS pour le retour de nuit. Arrivés au bord du trou, on se change, on grignote et on se répartit les kits (six de cordes + un de bouffe/eau). On est huit spéléos, donc un chanceux (PA) ! Du moins, à la descente.
Paul part en tête, à 11h et des poussières, et équipe les premiers puits. Tout le monde suit petit à petit et le rythme est assez fluide jusqu'au méandre vers les -120m où il y a des soucis de longueur de cordes. On en utilisera quelques unes, boueuses, en place à l'année pour descendre.
Très sympathique succession de puits, ressauts et méandres : le P50 est agréable et les étroitures ne sont pas sélectives. Agathe et Mika équiperont une partie de la cavité également (je ne sais pas laquelle).
Arrêt casse-croûte à une certaine heure, à un certain endroit (aucune mémoire). On reprend la route et atteignons assez rapidement le réseau des vastes galeries. On cherche pendant un temps la fameuse chatière sélective du réseau -300, sans succès. On décide alors d'aller au fond de la cavité, les pieds dans une belle boue avec quelques verticales et une vire au dessus de "la piscine" (renommée ainsi par Nico lorsqu'il a repêché Agathe dans l'eau, trempée jusqu'au cou). A partir de là, on a essayé de ne pas faire de pause trop longue pour éviter qu'Agathe ne se refroidisse.
On atteint ainsi le fond de la cavité puis remontons une galerie adjacente sur 200m, jusqu'à son colmatage. Cette galerie présente une superbe découpe où l'on marche sur le plafond ! Tous les blocs au sol proviennent du plafond, c'est rassurant... Demi-tour et on entame la remontée où l'on s'arrêtera en chemin pour laver le matos.
Paul déséquipera tout le long. On se répartit les kits, en laissant Agathe à vide pour qu'elle puisse remonter rapidement et se changer. Perrine abandonne le kit de bouffe à cause du poids et de l'encombrement qu'il représente.
Tout le long de la remontée, on se double, on s'attend, on s'égare, on progresse tranquillement. Le courant d'air est assez présent par endroits, on le ressent certainement plus facilement qu'à l'aller à cause de nos combis trempées. Et ce courant d'air était d'autant plus marqué lorsque l'on a senti la fumée du feu dans le P63 (signe qu'Agathe et Nico sont sortis et ont réussi à foutre le feu à la forêt !).
Je sors avec Perrine vers 23h30, alors que le premier binôme a passé la tête dehors près d'1h30 avant nous. On sortira tant bien que mal les derniers sacs du bas du puits d'entrée qui sont malheureusement mouillés pour la plupart. On attendra au bord du feu que nos quatre derniers compères ressortent, puis on partagera nos casse-croûtes/biscuits/cakes restants avant de prendre la direction du parking.
Arrivés aux voitures à 2h du matin, Paul nous offre une bière et on consulte la topo pour une raison qui nous semble évidente : le Cappuccino ne peut pas être un -400 ! Outre des longueurs de cordes approximatives, notre niveau de fatigue et l'altimètre en possession de Mika montrent que cette estimation de profondeur doit être erronée. Mais cela n'empêche pas la joie et la satisfaction que l'on a éprouvée durant cette sortie !
Florian
Paul fixe le RDV à 9h au parking de Pré du Lac pour prendre un café et se répartir dans les voitures. On monte rapidement au Col de l'Ecre, on se prépare et chacun porte un peu de matos. Certains plus que d'autres, voir beaucoup plus ! Paul et son sherpa nous a tous concurrencé haut la main !
La marche d'approche se fait tranquillement ; Dgé prend des repères sur son GPS pour le retour de nuit. Arrivés au bord du trou, on se change, on grignote et on se répartit les kits (six de cordes + un de bouffe/eau). On est huit spéléos, donc un chanceux (PA) ! Du moins, à la descente.
Paul part en tête, à 11h et des poussières, et équipe les premiers puits. Tout le monde suit petit à petit et le rythme est assez fluide jusqu'au méandre vers les -120m où il y a des soucis de longueur de cordes. On en utilisera quelques unes, boueuses, en place à l'année pour descendre.
Très sympathique succession de puits, ressauts et méandres : le P50 est agréable et les étroitures ne sont pas sélectives. Agathe et Mika équiperont une partie de la cavité également (je ne sais pas laquelle).
Arrêt casse-croûte à une certaine heure, à un certain endroit (aucune mémoire). On reprend la route et atteignons assez rapidement le réseau des vastes galeries. On cherche pendant un temps la fameuse chatière sélective du réseau -300, sans succès. On décide alors d'aller au fond de la cavité, les pieds dans une belle boue avec quelques verticales et une vire au dessus de "la piscine" (renommée ainsi par Nico lorsqu'il a repêché Agathe dans l'eau, trempée jusqu'au cou). A partir de là, on a essayé de ne pas faire de pause trop longue pour éviter qu'Agathe ne se refroidisse.
On atteint ainsi le fond de la cavité puis remontons une galerie adjacente sur 200m, jusqu'à son colmatage. Cette galerie présente une superbe découpe où l'on marche sur le plafond ! Tous les blocs au sol proviennent du plafond, c'est rassurant... Demi-tour et on entame la remontée où l'on s'arrêtera en chemin pour laver le matos.
Paul déséquipera tout le long. On se répartit les kits, en laissant Agathe à vide pour qu'elle puisse remonter rapidement et se changer. Perrine abandonne le kit de bouffe à cause du poids et de l'encombrement qu'il représente.
Tout le long de la remontée, on se double, on s'attend, on s'égare, on progresse tranquillement. Le courant d'air est assez présent par endroits, on le ressent certainement plus facilement qu'à l'aller à cause de nos combis trempées. Et ce courant d'air était d'autant plus marqué lorsque l'on a senti la fumée du feu dans le P63 (signe qu'Agathe et Nico sont sortis et ont réussi à foutre le feu à la forêt !).
Je sors avec Perrine vers 23h30, alors que le premier binôme a passé la tête dehors près d'1h30 avant nous. On sortira tant bien que mal les derniers sacs du bas du puits d'entrée qui sont malheureusement mouillés pour la plupart. On attendra au bord du feu que nos quatre derniers compères ressortent, puis on partagera nos casse-croûtes/biscuits/cakes restants avant de prendre la direction du parking.
Arrivés aux voitures à 2h du matin, Paul nous offre une bière et on consulte la topo pour une raison qui nous semble évidente : le Cappuccino ne peut pas être un -400 ! Outre des longueurs de cordes approximatives, notre niveau de fatigue et l'altimètre en possession de Mika montrent que cette estimation de profondeur doit être erronée. Mais cela n'empêche pas la joie et la satisfaction que l'on a éprouvée durant cette sortie !
Florian
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