Présents : SSF06, SSF83 et le GRIMP
TPST : presque 10h
En cette joyeuse fin de Septembre, nous nous embarquons dans une galère sans nom pour évacuer une pseudo victime à l'aval du Fourchu. Le repérage réalisé avec Renaud m'avait pourtant laissé entendre qu'on allait en chier... Super ! A l'attaque !
Je retrouve les fêtards de la veille au PC, pour 7h45, heure d'arrivée demandée par notre CT. L'inertie du matin, le temps que tout le monde émerge et se présente à "l'accueil", les CT's constituent les équipes et nous font un topo de la situation (cavité, répartition des ateliers et des équipes d'ASV et d'évacuation, temps de progression, radio pour l'équipe téléphone et les équipiers engagés qui les utiliseront, etc.). L'exercice débute vers 9h avec les premiers à partir : l'équipe transmission en surface et l'ASV composée de nos responsables du SSF06 et des membres du GRIMP (dont un médecin).
Pour les équipes d'évac', nouveau brief plus complet et préparation du matériel. Je suis engagé dans la première équipe d'évacuation avec Chris D. (notre chef), Paul, Mél, Nath, Jean Luc et Bélingo. Notre secteur : la Grande Fendasse jusqu'à la base des puits. On ne fera pas partir la civière de plus loin vu que celle-ci ne passerait certainement pas à vide. Nous entrons sous terre vers 10h après un transport cheveux aux vents !
On se répartie les kits à la descente jusqu'à ce que ma bouteille se tape un vol plané dans le 2nd puits... une bouteille de moins pour la journée, chiottes... A la base du même puits, on dépasse l'équipe téléphone. Il semblerait que Michel n'ait pas fini de partager ses connaissances avec Perrine ! Arrivée à l'ex siphon, ce dernier n'a pas bougé depuis le repérage et ça refroidit les papattes quand on le traverse. Certains crient plus que d'autres !
L'équipe arrive ainsi dans la Grande Fendasse et notre chef établit le plan des opérations : plusieurs binômes ou trinômes vont installer les divers ateliers de la tyrolienne. Avec un seul perfo et deux tamponnoirs, tout le monde n'est pas occupé... surtout quand l'un des tamponnoirs casse sous les coups d'une grande brute (au grand cœur) et finit au fond de la faille...
La mise en place des ateliers traîne un peu, surtout à cause d'une reprise entre deux points où le répartiteur ne veut pas répartir ! Quand le clou du spectacle ne veut pas faire son boulot, ça n'aide pas... Et la victime arrive déjà vers nous ?!? Où est le téléphone d'ailleurs ? Ils étaient partis changer la ligne et on ne les a pas revu...
On prend tous un bon repas avant d'attaquer l'évacuation (je n'ai plus les heures en tête... mais il devait être 13h30 bien tapé). Chacun se positionne, se relaie, manipule pendant que la civière progresse à bonne allure.
On déséquipe une partie des ateliers pour en équiper un autre, plus loin, installé par Jean-Luc en prévoyance. La victime semble à l'aise, décontractée, sauf quand on lui montre la paroi d'un peu trop prés !
On arrive à la voute tant attendue ! La civière passe au sec sur nos jambes, puis sur nos dos ou, pour Bélingo, sur la tête pendant qu'il se noie ! Ça a bien fait rire tout le monde !
On rejoint l'équipe d'évac II à la base des puits qui finit d'installer ses ateliers. On se pose quelques minutes jusqu'à ce que la civière puisse décoller. Une partie de notre équipe remonte (obligation familiale ou fatigue) tandis que l'autre va déséquiper ses ateliers et le téléphone. Avant d'attaquer les puits, on s'octroie une pause café et rigolade grâce à Bélingo ! Puis, on rattrape une petite partie de l'évac II qui nous file un coup de main avec les kits à sortir. Je ne sais plus quel micmac nous avons fait, mais on s'est bien mélangés et on a pu tout sortir facilement (cordes de progression, ateliers, téléphone). On sort en dernier vers 19h30, une demi-heure après la civière selon les copains. Place aux affaires sèches, à la grande bouffe et au trajet cheveux au vent... trempés !
Merci à tous pour l'orga, l'énorme repas, la logistique et la bonne ambiance ! Je m'en retourne en Rhône Alpes...
Le CR du SSF06 : ici.
Florian
Le barnum au petit matin (Photo : Fred B. - SophiTaupe) |
Pour les équipes d'évac', nouveau brief plus complet et préparation du matériel. Je suis engagé dans la première équipe d'évacuation avec Chris D. (notre chef), Paul, Mél, Nath, Jean Luc et Bélingo. Notre secteur : la Grande Fendasse jusqu'à la base des puits. On ne fera pas partir la civière de plus loin vu que celle-ci ne passerait certainement pas à vide. Nous entrons sous terre vers 10h après un transport cheveux aux vents !
On se répartie les kits à la descente jusqu'à ce que ma bouteille se tape un vol plané dans le 2nd puits... une bouteille de moins pour la journée, chiottes... A la base du même puits, on dépasse l'équipe téléphone. Il semblerait que Michel n'ait pas fini de partager ses connaissances avec Perrine ! Arrivée à l'ex siphon, ce dernier n'a pas bougé depuis le repérage et ça refroidit les papattes quand on le traverse. Certains crient plus que d'autres !
L'équipe arrive ainsi dans la Grande Fendasse et notre chef établit le plan des opérations : plusieurs binômes ou trinômes vont installer les divers ateliers de la tyrolienne. Avec un seul perfo et deux tamponnoirs, tout le monde n'est pas occupé... surtout quand l'un des tamponnoirs casse sous les coups d'une grande brute (au grand cœur) et finit au fond de la faille...
La mise en place des ateliers traîne un peu, surtout à cause d'une reprise entre deux points où le répartiteur ne veut pas répartir ! Quand le clou du spectacle ne veut pas faire son boulot, ça n'aide pas... Et la victime arrive déjà vers nous ?!? Où est le téléphone d'ailleurs ? Ils étaient partis changer la ligne et on ne les a pas revu...
On prend tous un bon repas avant d'attaquer l'évacuation (je n'ai plus les heures en tête... mais il devait être 13h30 bien tapé). Chacun se positionne, se relaie, manipule pendant que la civière progresse à bonne allure.
On déséquipe une partie des ateliers pour en équiper un autre, plus loin, installé par Jean-Luc en prévoyance. La victime semble à l'aise, décontractée, sauf quand on lui montre la paroi d'un peu trop prés !
On arrive à la voute tant attendue ! La civière passe au sec sur nos jambes, puis sur nos dos ou, pour Bélingo, sur la tête pendant qu'il se noie ! Ça a bien fait rire tout le monde !
On rejoint l'équipe d'évac II à la base des puits qui finit d'installer ses ateliers. On se pose quelques minutes jusqu'à ce que la civière puisse décoller. Une partie de notre équipe remonte (obligation familiale ou fatigue) tandis que l'autre va déséquiper ses ateliers et le téléphone. Avant d'attaquer les puits, on s'octroie une pause café et rigolade grâce à Bélingo ! Puis, on rattrape une petite partie de l'évac II qui nous file un coup de main avec les kits à sortir. Je ne sais plus quel micmac nous avons fait, mais on s'est bien mélangés et on a pu tout sortir facilement (cordes de progression, ateliers, téléphone). On sort en dernier vers 19h30, une demi-heure après la civière selon les copains. Place aux affaires sèches, à la grande bouffe et au trajet cheveux au vent... trempés !
Merci à tous pour l'orga, l'énorme repas, la logistique et la bonne ambiance ! Je m'en retourne en Rhône Alpes...
Le CR du SSF06 : ici.
Florian
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