TPEC : 3h20
On continue la saison de canyon sur une initiation de la famille de Paul. Enfin, de sa cousine et son compagnon. Des déboires ayant empêché les autres de venir. Pour l'occasion, on profite de la réouverture du canyon de la Barbaira, en Italie, réputé pour sa beauté et son côté très ludique.
Je rejoins Paul à 7h30 sur Nice et on file chercher nos deux américains (et oui, c'est une sortie internationale !!!). La cousine de Paul parle français, mais pas son compagnon : la traduction instantanée fonctionne à merveille. On part pour l'Italie et coupons par la montagne pour éviter Vintimille. La météo est variable et des orages sont annoncés pour le début d'après midi. On ne va pas traîner !
On prépare les kits et les 4€ par personne... redevance d'accès ! Ces italiens alors... La marche d'approche est agréable ; on voit plusieurs glissements ou effondrements, dont celui qui avait entraîné la fermeture du canyon (impressionnant par sa taille !). Valait mieux ne pas être dans l'eau à ce moment.
En arrivant, on croise un 1er groupe de canyoneurs. On se prépare et on attaque le canyon par le traditionnel saut du pont de 8m. Pas impressionnant de côté, ni d'en bas, ni lorsque l'on passe dessus, mais c'est autre chose quand on se met debout au bord. Pour bien résumer la situation, autant citer nos deux initiés avant le saut : "No matter what happen, I love you Morgan." (pour les non anglophones : "Quoiqu'il arrive, je t'aime Johnny"). Et c'est parti sous les yeux amusés d'un autre groupe ! Eux, moins amusés, ayant vu un serpent dans l'eau...
On progresse tranquillement dans ce cours d'eau d'une limpidité impressionnante et aux superbes couleurs. On alterne la marche aquatique, les toboggans et ponctuons le tout de sauts optionnels. Paul équipe les rappels et apprend à ses proches l'utilisation du 8. La descente est fluide et un groupe ne tarde pas à nous rattraper (celui au serpent) ; on les laisse passer devant pendant que l'on continue à sauter partout où c'est possible.
Au bout d'une grosse heure, on arrive dans les parties plus encaissées où les parois sont tapissées de petites cascades et végétations luxuriantes. Le soleil s'y faufilant, on a l'occasion d'admirer un paysage sorti tout droit de cartes postales. Nos deux initiés profitent pour se laisser porter et rêver...
Malgré les différents obstacles, on arrive vers la longue marche de fin. On se pose vers 12h45 pour manger. Et cette fois, tous les bidons sont étanches ! L'un d'eux ne le restera peut être pas (explication plus loin). On ré-attaque le canyon en tombant une partie du matos maintenant inutile. On arrive au dernier saut où des jeunes cherchent le courage de faire le grand pas. Paul, en parfait gentleman, aide les demoiselles en détresse ! On profite encore un peu de la dernière vasque et rangeons le matos. La météo commence à tourner...
Retour à la voiture, on se met au sec et démarrons lorsque quelque chose bloque sous la bagnole... un bidon s'y est glissé dessous et on ne peut pas dire qu'il ait une bonne tronche maintenant (il semblait un peu cubique... moi qui les ai toujours vu arrondi). Retour tranquille jusqu'à Nice, pas de pluie. Ca tombera plus tard...
Florian
On progresse tranquillement dans ce cours d'eau d'une limpidité impressionnante et aux superbes couleurs. On alterne la marche aquatique, les toboggans et ponctuons le tout de sauts optionnels. Paul équipe les rappels et apprend à ses proches l'utilisation du 8. La descente est fluide et un groupe ne tarde pas à nous rattraper (celui au serpent) ; on les laisse passer devant pendant que l'on continue à sauter partout où c'est possible.
Au bout d'une grosse heure, on arrive dans les parties plus encaissées où les parois sont tapissées de petites cascades et végétations luxuriantes. Le soleil s'y faufilant, on a l'occasion d'admirer un paysage sorti tout droit de cartes postales. Nos deux initiés profitent pour se laisser porter et rêver...
Malgré les différents obstacles, on arrive vers la longue marche de fin. On se pose vers 12h45 pour manger. Et cette fois, tous les bidons sont étanches ! L'un d'eux ne le restera peut être pas (explication plus loin). On ré-attaque le canyon en tombant une partie du matos maintenant inutile. On arrive au dernier saut où des jeunes cherchent le courage de faire le grand pas. Paul, en parfait gentleman, aide les demoiselles en détresse ! On profite encore un peu de la dernière vasque et rangeons le matos. La météo commence à tourner...
Retour à la voiture, on se met au sec et démarrons lorsque quelque chose bloque sous la bagnole... un bidon s'y est glissé dessous et on ne peut pas dire qu'il ait une bonne tronche maintenant (il semblait un peu cubique... moi qui les ai toujours vu arrondi). Retour tranquille jusqu'à Nice, pas de pluie. Ca tombera plus tard...
Florian
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