Rebelotte dans le Vercors pour le 16-17 mai !
SAMEDI 16 MAI - GROTTE ROCHE & CHORANCHE
Participants : Gege, Véro, Thierry G., Thierry V., Nanard, Thomas, Jean Paul, Jean Luc (SCVesoul) + Florian et Manu (CSTroglos)
TPST de 2 à 4 h selon les groupes (4h pour les Troglos, autant profiter à fond de la cavité )
On décolle de Lyon vers 7h20 avec Manu pour rejoindre les copains spéléos vésuliens à St Laurent en Royans (au gite du séchoir à Noix, des Landry - Geckos). Bonne route accompagnée de M&M's et d'une voiture au comportement étrange (j'étais jamais monté avec Manu... bizarre ces mouvements d'aller-retour à l'arrêt :O).
Sur place, on fait le point sur les envies de la journée et les copains me racontent la crue qu'ils ont subi la veille ! Forcement, ils n'ont pas envie de retourner à la flotte et on exclue Gournier. Ayant besoin de matos, ils vont faire un tour chez Expé le matin tandis que Manu et moi irons faire les touristes à Choranche.
Très belle cavité touristique. Les éclairages mettent bien en valeur les qualités de cette cavité (la rivière, les fistuleuses, les volumes) mais le discours du guide reste très bateau et relativement pauvre je trouve... Arrêt du tour dans une grande salle avec spectacle son et lumière, où l'on voit l'eau arrivée d'une cascade... Et dire que l'on en visite que 500m !!! Par contre, très heureux d'avoir enfin pu voir des Protées !!! Magnifique animal !
En sortant, je vais montrer le porche de Gournier à Manu tandis que Jean-Luc m'appelle. Ces derniers décollent du gite pour aller au parking de Grotte Roche. On aura un peu de retard, mais on ne sera pas les derniers sur place.
TPST de 2 à 4 h selon les groupes (4h pour les Troglos, autant profiter à fond de la cavité )
On décolle de Lyon vers 7h20 avec Manu pour rejoindre les copains spéléos vésuliens à St Laurent en Royans (au gite du séchoir à Noix, des Landry - Geckos). Bonne route accompagnée de M&M's et d'une voiture au comportement étrange (j'étais jamais monté avec Manu... bizarre ces mouvements d'aller-retour à l'arrêt :O).
Sur place, on fait le point sur les envies de la journée et les copains me racontent la crue qu'ils ont subi la veille ! Forcement, ils n'ont pas envie de retourner à la flotte et on exclue Gournier. Ayant besoin de matos, ils vont faire un tour chez Expé le matin tandis que Manu et moi irons faire les touristes à Choranche.
Très belle cavité touristique. Les éclairages mettent bien en valeur les qualités de cette cavité (la rivière, les fistuleuses, les volumes) mais le discours du guide reste très bateau et relativement pauvre je trouve... Arrêt du tour dans une grande salle avec spectacle son et lumière, où l'on voit l'eau arrivée d'une cascade... Et dire que l'on en visite que 500m !!! Par contre, très heureux d'avoir enfin pu voir des Protées !!! Magnifique animal !
En sortant, je vais montrer le porche de Gournier à Manu tandis que Jean-Luc m'appelle. Ces derniers décollent du gite pour aller au parking de Grotte Roche. On aura un peu de retard, mais on ne sera pas les derniers sur place.
Au parking, on grignote (et on boit, les vésuliens n'ont pas changé) et on se prépare à aller sous terre. La progression est assez simple et je vous laisse le soin de lire les 2 CR de mes amis (ci dessous) pour plus de détails.
- J'ajouterai juste quelques lignes sur les moments où l'on sait disperser du groupe SCV. lorsque l'on a arrêté les photos de Jean-Luc et que l'on a filé reprendre l'échelle. L'étroiture dite sélective est un vrai boulevard pour grand gaillard !!! On file sur la gauche pour essayer de rejoindre nos 4 amis partis vers le fond. On entend des cris pendant un court moment, mais le temps de descendre le puits, il n'y a plus personne ! Sur la vire, une des dyneema a bien morflé à force de frotter contre la roche et j'isole la dite partie par un noeud. On continue à avancer dans des galeries de bonnes dimensions en alternant passages secs et petites vasques. On rejoint les vésuliens dans la galerie, à environ 100m du siphon. Ils nous donnent les indications et Thierry G. nous dit qu'il nous attendra pour faire le labyrinthe !!! On trace jusqu'au siphon où il y a quelques traces d'écumes mais le niveau ne semble pas très haut (une réglette indique 14cm, mais elle est sur le côté du siphon).
- Au retour, on explore un petit départ où des travaux de désob ont eu lieu. Je montre à Manu les traces de cette dernière (mur de pierres servant de remparts à la terre tirée dans cette désob) et m'engage dans l'étroiture. Ca passe en frottant pas mal pour moi et ressort la tête sous une petite cascade : salle colmatée avec une escalade au plafond menant... à la précédente galerie ! Bon, on a fait un tour pour rien.
- On rejoint le groupe au puits puis nous nous séparons pour attaquer à 3 le labyrinthe. Thierry G. passe devant et arrive à choisir tous les passages les plus chiants ! Tant pis pour lui, on prend tous les shunts faciles avec Manu. Ca porte bien son nom et on a doit fouiner à plusieurs endroits pour trouver la sortie. Quand on entend le reste du groupe, on est bien contents de savoir que l'on ne s'est pas plantés !!!
- Le reste ressort pendant que l'on refait quelques photos avec Manu à des endroits sympas (coups de gouge au plafond, galerie à 4 pattes esthétique) puis on trace pour ne pas trop faire attendre les copains et surtout car Manu aura la route de retour pour Lyon !!!
On s'arrêtera au gîte de
François Landry pour que Manu se repose un peu avant la route. On
enchainera sur un apéro, un super repas et des bonnes blagues !!! Le
lendemain, ça sera le Tapinoir pour moi (avec Cédric et Vincent) et le
porche de Bournillon pour les copains du SCV !
Je vous joins les 2 CR complémentaires écrits par Jean Luc et Nanard du SCVesoul :
Le matin, repos. François nous emmène à Pont en Royans chez Expé, où il y a des promos et où il doit acheter du matos. Chacun achète ce qui lui manque et ce dont il a besoin (en particulier les couvertures de survie détruites la veille).
Retour au gîte : on décide de partir à Grotte Roche, on grignottera avant d'entrer. Florian et son copain Manu, Thierry G et Gege nous rejoignent sur le parking. Beau porche au bord de la Bourne, qui s'enfonce sous la route. La première salle est de grande dimension. On grimpe sur un éboulis pour atteindre une petite diaclase inclinée, suivie d'un laminoir sableux. On débouche dans la deuxième grande galerie : à droite, une main courante ascendante (qui est en fait la sortie du labyrinthe du retour). On continue la galerie principale descendante. Grosses dimensions, belles concrétions... Une petite escalade équipée nous conduit au pied de la grande colonne, terminus de la salle. Là, le groupe se sépare en deux : Véro, Gege, Manu, Thierry V, Florian et moi repartons tranquillement vers la sortie en faisant des photos, le reste du groupe monte à l'échelle qui amène à la suite du réseau (voir CR de Nanard plus bas). Au retour, Véro, Thierry V et moi allons voir où donne la main courante ascendante : petite cascade, passage étroit qui devient humide : demi-tour pour Thierry et moi. Véro continue, espérant retrouver le reste du groupe. Au pied de la main courante, on retrouve Gege, Flo et Manu sont retournés à l'échelle pour voir la suite du réseau.
Sortie sans problème, non sans avoir croisé de nombreux groupes ( on devait être à un moment donné une cinquantaine dans la cavité).
Dehors à 16 h pour nous 3, Véro nous rejoint une demi-heure plus tard. Elle n'a pas retrouvé les autres, et le labyrinthe est ... labyrintique ! On part à pieds dans les superbes gorges de la Bourne pour aller voir Goule Noire.
Le troisième groupe arrive à 17 h 30, puis à 18 h sortent Flo et Manu qui ont fait des photos.
Retour au gîte, douche, apéro et repas délicieux (caillettes, ravioles, ...) avec Régine et François, qui sont des hôtes merveilleux.
Jean-Luc Géral
Jean-Paul s’engage le premier sur l’échelle derrière la colonne, suivi de Thierry G ,Nanar ,et Thomas. Un boyau étroit sur quelques mètres nous amène à un croisement : à droite direction le labyrinthe et à gauche direction les galeries du fond.
Thierry descend le premier pour vérifier que la main courant de la vire du P30 est bien en place, ce qui est le cas. Nous pouvons donc laisser les kits et nous laisser glisser jusqu’à la vire que nous traversons avant de déboucher sur de grosses galeries descendantes. Après quelques passages concrétionnés, nous entendons la rivière couler au loin. Un passage bas franchi nous laisse percevoir de nouvelles galeries immenses et nous cheminons le long de la rivière avant d’arriver sur le siphon terminal. Nous remarquons au plafond des traces d’argiles qui laissent supposer des mises en charge jusqu’au plafond lors de grosses crues. Quelques sapins d’argiles sont perceptibles le long des parois.
Finalement nous retrouvons Florian et son collègue spéléo qui iront parcourir le fond de la cavité. Au retour, Thierry s’engage avec Florian et Manu dans le labyrinthe, sans kit, alors que nous retournons à la salle de la colonne par l’échelle où nous rencontrons un groupe. De retour vers la sortie, nous attendons nos compères à la jonction du labyrinthe, d’où ils débouchent par le plafond. Tous réunis nous rejoignons la sortie.
Bernard Détouillon (Nanard)
Je vous joins les 2 CR complémentaires écrits par Jean Luc et Nanard du SCVesoul :
Le matin, repos. François nous emmène à Pont en Royans chez Expé, où il y a des promos et où il doit acheter du matos. Chacun achète ce qui lui manque et ce dont il a besoin (en particulier les couvertures de survie détruites la veille).
Retour au gîte : on décide de partir à Grotte Roche, on grignottera avant d'entrer. Florian et son copain Manu, Thierry G et Gege nous rejoignent sur le parking. Beau porche au bord de la Bourne, qui s'enfonce sous la route. La première salle est de grande dimension. On grimpe sur un éboulis pour atteindre une petite diaclase inclinée, suivie d'un laminoir sableux. On débouche dans la deuxième grande galerie : à droite, une main courante ascendante (qui est en fait la sortie du labyrinthe du retour). On continue la galerie principale descendante. Grosses dimensions, belles concrétions... Une petite escalade équipée nous conduit au pied de la grande colonne, terminus de la salle. Là, le groupe se sépare en deux : Véro, Gege, Manu, Thierry V, Florian et moi repartons tranquillement vers la sortie en faisant des photos, le reste du groupe monte à l'échelle qui amène à la suite du réseau (voir CR de Nanard plus bas). Au retour, Véro, Thierry V et moi allons voir où donne la main courante ascendante : petite cascade, passage étroit qui devient humide : demi-tour pour Thierry et moi. Véro continue, espérant retrouver le reste du groupe. Au pied de la main courante, on retrouve Gege, Flo et Manu sont retournés à l'échelle pour voir la suite du réseau.
Sortie sans problème, non sans avoir croisé de nombreux groupes ( on devait être à un moment donné une cinquantaine dans la cavité).
Dehors à 16 h pour nous 3, Véro nous rejoint une demi-heure plus tard. Elle n'a pas retrouvé les autres, et le labyrinthe est ... labyrintique ! On part à pieds dans les superbes gorges de la Bourne pour aller voir Goule Noire.
Le troisième groupe arrive à 17 h 30, puis à 18 h sortent Flo et Manu qui ont fait des photos.
Retour au gîte, douche, apéro et repas délicieux (caillettes, ravioles, ...) avec Régine et François, qui sont des hôtes merveilleux.
Jean-Luc Géral
Jean-Paul s’engage le premier sur l’échelle derrière la colonne, suivi de Thierry G ,Nanar ,et Thomas. Un boyau étroit sur quelques mètres nous amène à un croisement : à droite direction le labyrinthe et à gauche direction les galeries du fond.
Thierry descend le premier pour vérifier que la main courant de la vire du P30 est bien en place, ce qui est le cas. Nous pouvons donc laisser les kits et nous laisser glisser jusqu’à la vire que nous traversons avant de déboucher sur de grosses galeries descendantes. Après quelques passages concrétionnés, nous entendons la rivière couler au loin. Un passage bas franchi nous laisse percevoir de nouvelles galeries immenses et nous cheminons le long de la rivière avant d’arriver sur le siphon terminal. Nous remarquons au plafond des traces d’argiles qui laissent supposer des mises en charge jusqu’au plafond lors de grosses crues. Quelques sapins d’argiles sont perceptibles le long des parois.
Finalement nous retrouvons Florian et son collègue spéléo qui iront parcourir le fond de la cavité. Au retour, Thierry s’engage avec Florian et Manu dans le labyrinthe, sans kit, alors que nous retournons à la salle de la colonne par l’échelle où nous rencontrons un groupe. De retour vers la sortie, nous attendons nos compères à la jonction du labyrinthe, d’où ils débouchent par le plafond. Tous réunis nous rejoignons la sortie.
Bernard Détouillon (Nanard)
DIMANCHE 17 MAI - LE TAPINOIRE (réseau de la Glacière d'Autrans)
Participants : Vincent, Cédric & Florian (CSTroglos)TPST : 7h30
Rdv est donné à 7h au parking de l'aquarium de la Mulatière pour que
Vincent me récupère et nous voilà partis en direction de la glacière
d'Autrans.
Un détour par pont en royans pour récupérer Florian qui était déjà sur place depuis le début du week-end et un détour dut à un éboulement sur la route. Nous arrivons vers 10h sur le parking du Pré de Gève.
On s'équipe vite, on endosse les kits et c'est parti pour la marche d'approche, aux côtés de la neige. Une bonne demi-heure plus tard on aperçoit enfin la doline et au fond la glacière et le tapinoir. Descente sur la neige, puis remonté vers le tapinoir et c'est parti.
Vincent équipera tout le long pour bouffer du nœud. Première descente sur la neige sur un plan incliné de 10m puis on entre, un meandre et la.... Vincent passe la tête hors du méandre recule et dit : "si je ne trouve pas un AN ici, on fait demi-tour... "
Bon, on cherche, Vincent me dit que derrière le méandre sa craint pour équiper le P 59. Une fois l' AN trouvé et la main courante mise, Vincent passe équiper la tête de puits et je le rejoins. En effet, je comprends la tête de puits se situe sur une plaque de glace... Attention la descente sans main courante...
Vincent descend Florian me rejoint et c'est parti pour le petit train, Vincent en tête, Florian fermant la marche.
En bas du P 59, une petite salle ouvre le sur P41 plein pot. Vincent se lance, tournicote sur lui même, je regarde et ...... PFIOU... Sa frontale parait petite en bas... Allez, c'est parti pour moi : je passe la rambarde naturelle, les pieds dans le vide, la clé défaite et c'est parti. Ce puits est magnifiquement bien taillé et l'impression est splendide. Une fois en bas un méandre nous attend.
On le passera en hauteur en cherchant l'équipement hors crue. Je ne suis pas un expert de la progression en oppo alors je galère, je pousse frotte appuis, on monte, on descend et finalement, on arrive à la tête de puits du P28. La tête de puits est basse, on va galérer à la remontée. Et hop, on descend de nouveau. On cherche ensuite la salle qui jonctionne avec la glacière, ça y est, elle est plus haut. C'est ici que Florian et moi mangerons tandis que Vincent équipe le dernier puits : un P31. De l'hésitation, de la galère, et Vincent nous appelle pour nous dire que c'est bon.
L'équipement est rudimentaire et craint un peu car beaucoup de cailloux.
Enfin, on arrive en bas. Vincent a déjà disparu par l'étroiture pour aller voir le siphon. À son retour, je m'engage moi aussi pour aller voir mon premier siphon... C'est sympa sa donne envis d'aller voir plus loin (là, c'est mon cerveau de plongeur qui parle). Tandis que Florian arrive, Vincent remonte pour manger.
Au retour Florian déséquipera le P31, puis je ferai le P28 et P41 et enfin Florian déséquipera le P59.
En haut du P31 Vincent me demande d'estimer le temps que l'on mettra à la remonter : je table sur 2h30 - 3H. Au final, en passant le méandre en bas dans l'actif et en remontant finalement assez facilement les puits, nous aurons mis 1h30 pour arriver à la tête du P59. On sort, on reprend le chemin pour profiter du ciel bleu qui était présent sur le plateau.
Le retour se fera sans encombre jusqu'au local où l'on déposera les kits et le matériel pour les laver le lendemain avant la formation point chaud - CR de Cédric
Un détour par pont en royans pour récupérer Florian qui était déjà sur place depuis le début du week-end et un détour dut à un éboulement sur la route. Nous arrivons vers 10h sur le parking du Pré de Gève.
On s'équipe vite, on endosse les kits et c'est parti pour la marche d'approche, aux côtés de la neige. Une bonne demi-heure plus tard on aperçoit enfin la doline et au fond la glacière et le tapinoir. Descente sur la neige, puis remonté vers le tapinoir et c'est parti.
Vincent équipera tout le long pour bouffer du nœud. Première descente sur la neige sur un plan incliné de 10m puis on entre, un meandre et la.... Vincent passe la tête hors du méandre recule et dit : "si je ne trouve pas un AN ici, on fait demi-tour... "
Bon, on cherche, Vincent me dit que derrière le méandre sa craint pour équiper le P 59. Une fois l' AN trouvé et la main courante mise, Vincent passe équiper la tête de puits et je le rejoins. En effet, je comprends la tête de puits se situe sur une plaque de glace... Attention la descente sans main courante...
Vincent descend Florian me rejoint et c'est parti pour le petit train, Vincent en tête, Florian fermant la marche.
En bas du P 59, une petite salle ouvre le sur P41 plein pot. Vincent se lance, tournicote sur lui même, je regarde et ...... PFIOU... Sa frontale parait petite en bas... Allez, c'est parti pour moi : je passe la rambarde naturelle, les pieds dans le vide, la clé défaite et c'est parti. Ce puits est magnifiquement bien taillé et l'impression est splendide. Une fois en bas un méandre nous attend.
On le passera en hauteur en cherchant l'équipement hors crue. Je ne suis pas un expert de la progression en oppo alors je galère, je pousse frotte appuis, on monte, on descend et finalement, on arrive à la tête de puits du P28. La tête de puits est basse, on va galérer à la remontée. Et hop, on descend de nouveau. On cherche ensuite la salle qui jonctionne avec la glacière, ça y est, elle est plus haut. C'est ici que Florian et moi mangerons tandis que Vincent équipe le dernier puits : un P31. De l'hésitation, de la galère, et Vincent nous appelle pour nous dire que c'est bon.
L'équipement est rudimentaire et craint un peu car beaucoup de cailloux.
Enfin, on arrive en bas. Vincent a déjà disparu par l'étroiture pour aller voir le siphon. À son retour, je m'engage moi aussi pour aller voir mon premier siphon... C'est sympa sa donne envis d'aller voir plus loin (là, c'est mon cerveau de plongeur qui parle). Tandis que Florian arrive, Vincent remonte pour manger.
Au retour Florian déséquipera le P31, puis je ferai le P28 et P41 et enfin Florian déséquipera le P59.
En haut du P31 Vincent me demande d'estimer le temps que l'on mettra à la remonter : je table sur 2h30 - 3H. Au final, en passant le méandre en bas dans l'actif et en remontant finalement assez facilement les puits, nous aurons mis 1h30 pour arriver à la tête du P59. On sort, on reprend le chemin pour profiter du ciel bleu qui était présent sur le plateau.
Le retour se fera sans encombre jusqu'au local où l'on déposera les kits et le matériel pour les laver le lendemain avant la formation point chaud - CR de Cédric
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire