Présents : Chris (ASBTP) & Flo (GSV)
TPST : 5h
Petite sortie en tête à tête pour aller explorer l'aven du Cataphot, que j'avais raté lors de la sortie club de mars dernier (article et photos : ici). Je retrouve Chris à Pré du Lac pour 8h30 ; comme d'habitude, covoiturage pour limiter notre impact sur l'environnement. Je me rends compte que je n'ai pas tellement mis le nez sous terre cet été... la remontée du P78 va-t-elle être difficile ?
On arrive sur site vers 9h20, après avoir tourné pour retrouver le bon emplacement. Sans GPS, c'est pas évident ; heureusement que l'on a la carte des Préalpes. On commence par vérifier l'emplacement de la cavité et la mémoire de Chris rend bien service (quand elle fonctionne... puisqu'il a oublié le GPS et de mouiller les cordes). Une fois trouvée, on retourne à la voiture se préparer un café. Avec cette chaleur et l'éveil incomplet, une envie de farniente nous envahit... on traîne, on traîne... On se motive tant bien que mal et on s'habille pour faire comme les vrais spéléos : descendre des puits !
Chris en profite pour m'offrir une pédale ! Il en avait marre de me voir me trimballer avec ma sangle de camion... elle en aura pourtant fait rire beaucoup (RIP pédale). Il me prête également un de ses pantins, accessoire dit essentiel mais dont je n'ai jamais eu l'occasion d'utiliser (enfin, jamais bien).
Toutes ces émotions nous amènent au bord du Cataphot, que nous pénétrons à 10h45. J'équipe les trois premiers petits puits, avec leurs fameux mono-points, tout en purgeant le parcours. Puis Chris me rejoint au départ du P78 pour équiper la suite. Un gros bloc est sur le côté du palier : prêt pour calculer le temps de chute ? Quelle douce mélodie d'un bloc qui s'éclate en mille morceaux, on dirait une pluie fine...
Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais en stress devant le P78 (pas assez dormi ? mal réveillé ? le manque de spéléo ?). Chris s'élance en tête, sur une grosse corde qui ressemble plus à un câble en fait. Je le rejoins à mi-puits, où il installe une belle vire confortable mais athlétique. La descente se finit tranquillement. Nous sommes accueillis par un squelette de mouton et des dizaines de petits insectes se délectant de ce bon vieux méchoui !
Il est midi, nous prenons le goûter. Oui oui, le goûter. On a volontairement laissé les sandwichs à la voiture, se disant que la balade serait rapide. Au menu : pizza et barre chocolat. Puis, nous prenons la direction du réseau de la Boucle... que l'on pourrait surnommer le réseau de la Boue. Après ces 96 mètres de puits, ça devient gras et bas. On se faufile vers le fond, j'abandonne mon baudard sur une étroiture, pensant le garder propre jusqu'à la sortie (ahah, erreur de débutant). On arrive au fond en tâtant un peu le chemin. Je suis les indices de Dada pour apercevoir la piste ouverte par les Garagaï. Mais c'est bien étroit, comme il me l'avait annoncé. On a déjà bien crapahuté et on se décourage sur cet accès.
Demi-tour et on visite les autres passages. Remontée sur corde pour atteindre une belle salle. On cherche un peu la fameuse boucle à réaliser mais on bute... on n'insiste pas et on retourne à la base des puits. On visite le réseau de l'Espérance et Chris se demande si l'escalade a été réalisée dans ce puits remontant. Nous irons peut-être la faire dans un futur proche.
Mais pour l'heure, la remontée des puits nous attend, ainsi que le sandwich. Je passe en tête et essaie le pantin : ça m'a changé la vie ! Quel bonheur d'utiliser cet outil. Chris déséquipe le P78 et je prends la suite. On passe la tête dehors vers 16h. Quelques nuages sont là mais la chaleur tape bien. Place au casse-croûte et au repos.
Florian
On arrive sur site vers 9h20, après avoir tourné pour retrouver le bon emplacement. Sans GPS, c'est pas évident ; heureusement que l'on a la carte des Préalpes. On commence par vérifier l'emplacement de la cavité et la mémoire de Chris rend bien service (quand elle fonctionne... puisqu'il a oublié le GPS et de mouiller les cordes). Une fois trouvée, on retourne à la voiture se préparer un café. Avec cette chaleur et l'éveil incomplet, une envie de farniente nous envahit... on traîne, on traîne... On se motive tant bien que mal et on s'habille pour faire comme les vrais spéléos : descendre des puits !
Chris en profite pour m'offrir une pédale ! Il en avait marre de me voir me trimballer avec ma sangle de camion... elle en aura pourtant fait rire beaucoup (RIP pédale). Il me prête également un de ses pantins, accessoire dit essentiel mais dont je n'ai jamais eu l'occasion d'utiliser (enfin, jamais bien).
Toutes ces émotions nous amènent au bord du Cataphot, que nous pénétrons à 10h45. J'équipe les trois premiers petits puits, avec leurs fameux mono-points, tout en purgeant le parcours. Puis Chris me rejoint au départ du P78 pour équiper la suite. Un gros bloc est sur le côté du palier : prêt pour calculer le temps de chute ? Quelle douce mélodie d'un bloc qui s'éclate en mille morceaux, on dirait une pluie fine...
Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais en stress devant le P78 (pas assez dormi ? mal réveillé ? le manque de spéléo ?). Chris s'élance en tête, sur une grosse corde qui ressemble plus à un câble en fait. Je le rejoins à mi-puits, où il installe une belle vire confortable mais athlétique. La descente se finit tranquillement. Nous sommes accueillis par un squelette de mouton et des dizaines de petits insectes se délectant de ce bon vieux méchoui !
Il est midi, nous prenons le goûter. Oui oui, le goûter. On a volontairement laissé les sandwichs à la voiture, se disant que la balade serait rapide. Au menu : pizza et barre chocolat. Puis, nous prenons la direction du réseau de la Boucle... que l'on pourrait surnommer le réseau de la Boue. Après ces 96 mètres de puits, ça devient gras et bas. On se faufile vers le fond, j'abandonne mon baudard sur une étroiture, pensant le garder propre jusqu'à la sortie (ahah, erreur de débutant). On arrive au fond en tâtant un peu le chemin. Je suis les indices de Dada pour apercevoir la piste ouverte par les Garagaï. Mais c'est bien étroit, comme il me l'avait annoncé. On a déjà bien crapahuté et on se décourage sur cet accès.
Demi-tour et on visite les autres passages. Remontée sur corde pour atteindre une belle salle. On cherche un peu la fameuse boucle à réaliser mais on bute... on n'insiste pas et on retourne à la base des puits. On visite le réseau de l'Espérance et Chris se demande si l'escalade a été réalisée dans ce puits remontant. Nous irons peut-être la faire dans un futur proche.
Mais pour l'heure, la remontée des puits nous attend, ainsi que le sandwich. Je passe en tête et essaie le pantin : ça m'a changé la vie ! Quel bonheur d'utiliser cet outil. Chris déséquipe le P78 et je prends la suite. On passe la tête dehors vers 16h. Quelques nuages sont là mais la chaleur tape bien. Place au casse-croûte et au repos.
Florian
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