Présents : Chris (ASBTP), Alex (GSMagnan), Flo (GSV) + Ondine
TPST : 7h
Chris souhaitait faire une sortie photo, pour tester son nouveau matos (cellules). En se demandant quelle cavité on pouvait squatter, je lui ai proposé le Fourcul... euh Fourchu pardon. D'autant plus qu'il ne connait pas la fameuse statue !!! Pour l'occasion, Alex et Ondine se joignent à nous.
On se retrouve tous à Pré du Lac pour 8h30, avec un petit café au chaud tandis que des gouttes tombent dehors. Un temps bien pourri qui était pourtant annoncé pour 11h... On se motive et on décolle avant de prendre racine. Au parking du Fourchu, la météo s'est apaisée lorsque l'on commence à se préparer ; mais ça ne dure pas ! Ceux efficaces, comme Chris & Alex, se réfugient rapidement dans la voiture tandis que ma légendaire lenteur pour m'habiller me vaut la peine d'essuyer une superbe averse ! Quoi de mieux que de commencer une cavité en étant trempée ? Au moins, on a le droit à une crêpe sucrée chacun pour le courage (crêpe faite maison).
On entre dans l'aven avant 10h. Alex passe en tête pour équiper les puits ; des cordes sont toujours équipées là en fixe, mais maintenant que l'on s'est trimballé le kit, autant l'utiliser ! Rappel des règles et manip' à Ondine. Chris l'encadre pendant que je raconte des bêtises pour la rassurer (une vidéo sur le net l'ayant un peu stressée). Le courant d'air est toujours présent dans la zone des puits : frais et assez fort, surtout quand on est trempés.
On arrive rapidement à la partie sèche et chaude de la cavité. C'est le début d'une autre aventure : le chemin vers la statue du Fourchu ! Dans mon souvenir, c'était de la balade... j'avais déjà oublié que c'était gras, bas et très humide par endroit... Encore plus humide quand une bouteille de flotte s'ouvre dans le kit ! Adieu sandwich, pizza... on vous aimait !
On arrive à 11h dans la salle de la statue. On pose les affaires, on sort les flashs et on essaie de faire une beauté à notre hôte. Pas évident quand l'un des flashs n'en fait qu'à sa tête... On ne s'éternise pas trop sur la statue et on enchaîne sur des clichés de groupe et l'apéro ! Une bonne Goudale et le repas avant de faire demi-tour et d'aller retrouver l'actif du réseau.
On progresse rapidement jusqu'au lac, en essayant de laisser Ondine se fier à son 6ième sens... c'est râpé pour elle, mais ça nous fait bien rire ! A mi-parcours, on abandonne la moitié des kits pour voyager léger. Puis, nouvelles photos pendant que je savoure les trous dans ma botte... froid aux pieds... Ondine se prête facilement au jeu de la photo et du mannequinat souterrain.
On attaque la Rivière Noire en ponctuant le parcours d'arrêt photo. Mais le profil de la cavité n'est pas évident pour mettre en valeur le travail de l'eau. Et vu que l'on a le bas du corps trempé, on ne cherche pas trop à se casser la tête. En se faufilant dans ce labyrinthe, une bataille de boue commence ! Autant dire que l'on a eu une grande perdante ! Ondine, nous saluons ta bravoure et ton courage au combat...
Quand on reprend la marche, l'eau coule dans l'autre sens... ça nous parait bizarre (et ce n'est pas une bière partagée à quatre qui nous a retourné la tête). Chris s'arrête et veut faire des photos parce que "c'est joli ici !"... on y est passés y a 20 minutes... il y a même la paire de gants de Chris qui traîne là. Le Fourchu restera toujours un labyrinthe avec de difficiles repères.
On pose le matos photo et finissons d'explorer cette partie du réseau, avant de faire demi-tour et d'attaquer la remontée. C'est le moment qu'Ondine redoutait le plus (à cause de son ennemie jurée : la poignée !) mais elle s'en sort comme une chef ! Juste le casque qui n'est pas adapté à son tour de tête et qui n'arrête pas de lui tomber sur les épaules. On pointe le bout du nez dehors vers 17h, sous un soleil radieux ! On dirait que l'on a changé de saison en 7h d'explo...
On se change aux voitures et prenons un gros goûter : Torta Barozzi, pizza, bière... que la force soit avec nous !
Florian
On se retrouve tous à Pré du Lac pour 8h30, avec un petit café au chaud tandis que des gouttes tombent dehors. Un temps bien pourri qui était pourtant annoncé pour 11h... On se motive et on décolle avant de prendre racine. Au parking du Fourchu, la météo s'est apaisée lorsque l'on commence à se préparer ; mais ça ne dure pas ! Ceux efficaces, comme Chris & Alex, se réfugient rapidement dans la voiture tandis que ma légendaire lenteur pour m'habiller me vaut la peine d'essuyer une superbe averse ! Quoi de mieux que de commencer une cavité en étant trempée ? Au moins, on a le droit à une crêpe sucrée chacun pour le courage (crêpe faite maison).
On entre dans l'aven avant 10h. Alex passe en tête pour équiper les puits ; des cordes sont toujours équipées là en fixe, mais maintenant que l'on s'est trimballé le kit, autant l'utiliser ! Rappel des règles et manip' à Ondine. Chris l'encadre pendant que je raconte des bêtises pour la rassurer (une vidéo sur le net l'ayant un peu stressée). Le courant d'air est toujours présent dans la zone des puits : frais et assez fort, surtout quand on est trempés.
On arrive rapidement à la partie sèche et chaude de la cavité. C'est le début d'une autre aventure : le chemin vers la statue du Fourchu ! Dans mon souvenir, c'était de la balade... j'avais déjà oublié que c'était gras, bas et très humide par endroit... Encore plus humide quand une bouteille de flotte s'ouvre dans le kit ! Adieu sandwich, pizza... on vous aimait !
On arrive à 11h dans la salle de la statue. On pose les affaires, on sort les flashs et on essaie de faire une beauté à notre hôte. Pas évident quand l'un des flashs n'en fait qu'à sa tête... On ne s'éternise pas trop sur la statue et on enchaîne sur des clichés de groupe et l'apéro ! Une bonne Goudale et le repas avant de faire demi-tour et d'aller retrouver l'actif du réseau.
On progresse rapidement jusqu'au lac, en essayant de laisser Ondine se fier à son 6ième sens... c'est râpé pour elle, mais ça nous fait bien rire ! A mi-parcours, on abandonne la moitié des kits pour voyager léger. Puis, nouvelles photos pendant que je savoure les trous dans ma botte... froid aux pieds... Ondine se prête facilement au jeu de la photo et du mannequinat souterrain.
On attaque la Rivière Noire en ponctuant le parcours d'arrêt photo. Mais le profil de la cavité n'est pas évident pour mettre en valeur le travail de l'eau. Et vu que l'on a le bas du corps trempé, on ne cherche pas trop à se casser la tête. En se faufilant dans ce labyrinthe, une bataille de boue commence ! Autant dire que l'on a eu une grande perdante ! Ondine, nous saluons ta bravoure et ton courage au combat...
Quand on reprend la marche, l'eau coule dans l'autre sens... ça nous parait bizarre (et ce n'est pas une bière partagée à quatre qui nous a retourné la tête). Chris s'arrête et veut faire des photos parce que "c'est joli ici !"... on y est passés y a 20 minutes... il y a même la paire de gants de Chris qui traîne là. Le Fourchu restera toujours un labyrinthe avec de difficiles repères.
On pose le matos photo et finissons d'explorer cette partie du réseau, avant de faire demi-tour et d'attaquer la remontée. C'est le moment qu'Ondine redoutait le plus (à cause de son ennemie jurée : la poignée !) mais elle s'en sort comme une chef ! Juste le casque qui n'est pas adapté à son tour de tête et qui n'arrête pas de lui tomber sur les épaules. On pointe le bout du nez dehors vers 17h, sous un soleil radieux ! On dirait que l'on a changé de saison en 7h d'explo...
On se change aux voitures et prenons un gros goûter : Torta Barozzi, pizza, bière... que la force soit avec nous !
Florian
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