17 mars 2024

Prélèvements géologiques au Calernaum

Participants : Daniel, Jérôme et Mathieu
Excusé : François
TPST : 3h

Le but de la sortie étant de remonter un tas de cailloux d'une cavité pas vraiment choisie au hasard, quelques explications s'avéreront nécessaires avant de raconter son déroulement afin d'éviter une incompréhension bien légitime.

Tout commence par une interrogation d'un ami qui a attaqué des remontées et qui se demande où est-ce que ça va bien finir. Naïvement, j'avais pensé qu'une coupe géologique pourrait donner une réponse. Avec un positionnement et un report en surface, on obtient une différence d'altitude. Il ne reste plus qu'à ressortir la carte du BRGM et on est sensé avoir une petite idée.

Seulement quand le compte n'y est pas, on peut jeter la pierre au topographe, au géologue, voire les deux à la fois, mais on n'est pas plus avancé.

En creusant la question, on peut étudier la littérature sur le Calernaum. En y regardant de prêt, on a le haut et le bas de la coupe, mais avec un gros point d'interrogation au milieu, lié à une zone de fracturation. Et effectivement, le compte n'y est pas non-plus.

Avec un pendage de 17 degrés orienté à 15 degrés Nord, en tenant compte de la progression suivant le pendage et le contre-pendage, nos 194m de puits doivent nous donner une coupe d'environ 205m.

En partant du bas, on est sensé trouver les couches suivantes : Bajocien 50m (52m avec pendage), Bathonien 50m (52m), Callovien 40m (42m). Rajoutons encore l'Argovien 20m (21m) au bénéfice du doute. On a donc soit 146m, soit 167m. Il manque donc au moins environ 38m...

Il n'en fallait pas plus pour se prendre au jeu et partir ramasser des cailloux. La fine fleur du GSV a bien-entendu répondu présent.

François dont c'est la grande passion était tout excité. Malheureusement pour lui, un imprévu a gaché la fête. Il a dû déclarer forfait.

Nous nous retrouvons à trois, Daniel, Jérôme et moi à 9h30 au parking de l'observatoire.

En chemin, je leur fait admirer la faille qui traverse le plateau. On s'arrête aussi à la doline au bord du chemin, juste avant celle de l'entrée. Elle est à l'aplomb du bas de la galerie de l'Odyssée. On voit la fracture qui part vers le nord, juste au-dessus du réseau I.

Arrivés au trou, nous commençons par des prélèvements en extérieur. Sur un axe 15 degrés Nord : un au niveau de la piste, un en-haut de la doline et un à l'entrée. D'après la carte, la piste est dans l'Argovien et l'entrée dans le Callovien. Mais vu comment sont pointées les dolines dans ce secteur, je lui accorde une confiance toute relative. Elle a été réalisée avec les moyens des années 60 et publiée en 1970.

Dans le puits d'entrée, je cherche un changement de couche vendu à -20, aidé du quintuple décamètre tenu par Daniel en haut du puits. Mais bon, je n'ai vraiment pas l'oeil. J'arrive bredouille au départ du P18. Je fais quand-même un prélèvement à cet endroit-là.

La prochaine zone intéressante commence en haut du puits Pi. J'allais commencer un nouveau prélèvement quand Daniel entend les appels de détresse de Jérôme. Il fait donc demi-tour pour aller à son secours.

Comme j'ai compris, Jérôme avait présumé de ses forces pour rejoindre la lucarne en tirant sur les bras et il avait fini au fond de la boucle. Interdiction de rigoler.

Daniel a bien essayé de lui expliquer qu'il faudrait peut-être songer à réfléchir un peu avant, mais je suis sûr que la prochaine fois il aura oublié.

Reprenons. Je fais un prélèvement à coté des amarrages du départ, un à -8,5 où j'ai un doute, un autre au fractionnement à -12. Après, ça commence à arroser et je file en-bas alors que c'est sensé être la partie la plus intéressante. J'en prend un à droite face la parois (dos à la suite) et un au départ du puits des Météores.

Il est midi. On s'arrête là pour manger.

Jérôme préfère remonter suite à sa déconvenue.

Je continue suivi de Daniel. Il y a une arrivée d'eau dans le puits des Météores, c'est la douche. Au P7 aussi. Au puits David aussi. Je m'arrête au départ du P80 pour faire un prélèvement. Daniel pose les pieds au sol et repart aussitôt. Je ne le reverrai plus jusqu'à la sortie. Je me penche au-dessus du puits et effectivement ça résonne bien. Ce n'est pas vraiment le bon jour pour descendre...

Ce n'est pas grave, il me reste suffisamment à faire pour compléter les prélèvements manquants à la remontée : trois pour le David, le bas des Météores, un petit pendule en-haut du Pi (Très intéressant, il se passe des choses à un mètre de distance...), un dans le puits d'entrée 6m au-dessus du ressaut.

A la sortie, je retrouve mes deux compères qui sont en train de faire la sieste au soleil. C'est bizarre, il y a pourtant des gouttes qui tombent par terre. Après une étude approfondie, il semblerait que c'est en fait mon casque qui s'égoutte.

Comme j'ai été déçu de ne pas avoir trouvé le changement de couche à -20, je refais un aller-retour rapide, mais je sors tout aussi bredouille. Impossible de voir la différence sous terre avec l'argile, l'humidité et un éclairage à lumière chaude.

On terminera la sortie par un petit détour vers les petites barres au nord pour prendre une référence de Séquanien. Puis par la falaise, où on est sensé trouver du Callovien. On termine par l'entrée de la Grenouille. Mes accolytes meurent d'envie de se faire inviter à une visite.

Je ramène un beau tas de cailloux à la maison. Je vais pouvoir me casser les dents dessus. Mais c'est une autre histoire...

Mathieu

28 janv. 2024

Fondue savoyarde à la grotte de Combrières

Participants : François, Daniel, Jérôme, Marion, Mathieu, Nina, Noam, Rémi, Sacha, Vincent, Yannick

TPST : 4h30

Parmi les bonnes résolutions pour 2024, le Président avait mis en tête de liste la reprise de la traditionnelle fondue savoyarde souterraine du GSV souvent copiée, jamais égalée. La date du 28 janvier fut bloquée afin de pouvoir réunir à la fois la crème (rance) du club et le dessus du panier (percé) des initiés les plus assidus. La grotte de Combrières (aussi appelée grotte de Mons) fut choisie pour sa facilité d'accès, son infrastructure quasi-hotelière, et sa configuration propice aux ébats de jeunes enfants : ça tombait bien, il y avait trois mômes de prévus parmi les convives.

Mathieu, notre savoyard de service, avait, pour l'occasion, fait mûrir une sélection de fromages du terroir. C'est donc la voiture envahie par le délicat fumet de frometons en train d'agoniser qu'il rejoignit, en compagnie de Rémi, le reste de la fine équipe à 10h30 au carrefour de l'usine hydroélectrique de la Siagne. "Covoiturage" fut le maître-mot de l'expédition car les places de stationnement sont rares à proximité de la cavité. Le contenu de cinq véhicules fut donc transféré dans trois en entassant victuailles, réchaud, novices, casques spéléo, boissons, marmaille, bottes, spéléologues périmés, caquelon et vieillards plus ou moins cacochymes. A onze heures, le groupe se changeait sous le porche d'entrée et à onze heures trente il pénétrait la grotte. Le Président ayant fait remarqué qu'il était pratiquement l'heure de l'apéro, les grignotages furent déployés en un clin d'oeil et le gewurtztraminer de notre ami Yannick fut servi dans la foulée, le tout avec une rigueur toute militaire : au GSV on ne badine pas avec les horaires. 

La présence de mineurs excluant toute conversation déviante, il fut habilement suggéré à Nina, Noam et Sacha d'aller compter les chauve-souris à l'autre bout de la cavité afin que les adultes puissent débiter les cochonneries qui émaillent habituellement les discussions dans tout club spéléo qui se respecte. Effectivement, le temps que les gamins reviennent du fond sans avoir vu la queue d'une ombre d'un chiroptère, nous avions évoqué :

1) la technique de Yannick pour couler un bronze le matin sans en foutre partout (ben oui, il est fondeur...)
2) les différentes traductions de l'expression "anus horribilis" par notre latiniste distingué François (Vincent ayant à tort compris : "cul qui gratte")
3) l'accouplement des spéléologues de même sexe sous les latitudes tropicales (Rémi nous ayant ainsi fait part de ses souvenirs humides à Bornéo et à Madagascar)
4) l'invention fortuite de la lyophilisation par un vieillard du XIXème siècle qui, éjaculant en poudre compte tenu de son grand âge, rajoutait systématiquement de l'eau pour mieux contenter sa vieille compagne qui avait du mal à avaler (anecdote ayant attiré la compassion de notre infirmière Marion pour cette pauvre femme)

- Ça veut dire quoi "éjaculer" ? 

Oups ! Nous n'avions pas entendu Sacha (13 ans) qui était revenu subrepticement parmi nous. Dès lors plus aucune insanité ne fut proférée jusqu'à la fin du repas.

Pendant ce temps Mathieu avait lancé la cuisson de la fondue sur son butagaz de compétition, votre serviteur s'étant porté volontaire pour touiller (j'aime jouer du manche en premier).

 La recette toujours secrète de Mathieu (vin d'apremont, fromage-qui-pue et ail) fit des miracles : une fondue onctueuse et délicate dans laquelle il était impossible de perdre le moindre morceau de pain, sauf lorsqu'on s'appelle François. Notre jésuite maladroit fauta par deux fois ce qui lui valut d'être condamné à lécher les bottes sales de Mathieu et du Président . Lequel Président, magnanime et pour ne pas infliger ce spectacle à nos jeunes convives, autorisa François à les emporter chez lui pour les faire reluire à coup de langue (les bottes, pas les jeunes convives, suivez un peu, quoi...). Notre couleur de bronze Yannick ayant apporté, en alternative au pain, de divines petites patates de Caussols délicatement bouillies, cette fondue souterraine 2024 prit tout de suite une dimension métaphysique : un vrai nirvana de saveurs. Ce goinfre de Mathieu qui, en bon Savoyard, déteste gaspiller le mangement, se porta volontaire pour engloutir l'ultime bouchée de fromage qui avait approximativement la taille du poing de Nina (10 ans). D'une part cela lui fit une tête de hamster avec les joues gonflées (à Mathieu, pas à Nina) et d'autre part il batailla près de cinq minutes pour essayer d'avaler le brouet afin de ne pas perdre la face. Finalement il recracha le tout, ayant manqué de s'étouffer. Une fois les éclats de rire passés, Dada nous convia, en guise de trou normand, à aller explorer la grotte histoire de tasser le fromage au fond des estomacs.



Une demi-heure plus tard nous étions de retour à table pour attaquer LES desserts, en tête desquels le gâteau d'anniversaire de François. Daniel, perplexe : "C'était pas le premier novembre ton anniversaire ?". "Si, mais il n'est jamais trop tard pour bien faire, comme disait Jésus" rétorqua Don Francesco. A Marion qui lui demandait son âge, notre théologien dévoyé répondit : 56 ans. Vincent s'étonna : "C'est bizarre, tu fais vraiment beaucoup plus vieux...". Et alors là, François se lança dans une démonstration médico-physico-mathématique absconse d'où il ressortait qu'en multipliant la longueur de son pénis en érection par le diamètre de son anus dilaté divisé par sa fréquence cardiaque, on tombait sur son âge réel : donc il avait 56 ans et pas 73. Rémi marmonna que le vieux était quand même vachement souple pour se mesurer la taille du trou de balle sans choper un torticolis. "C'est quoi une érection ?" demanda Noam (7 ans). "Tiens, mange du gâteau et arrête de poser des questions idiotes" le gronda Marion, sa mère. Bref, François finit par glavioter sur ses 73 bougies, et nous nous empifrâmes de tarte à la frangipane, de petits fours amoureusement choisis par Marion et Vincent, de galette des rois et de mandarines de Corse, le tout arrosé de Champagne. 

Pour faire passer la fondue.

C'est donc à quatre pattes (le ventre touchant presque le sol) que notre équipe de morfales sortit de la grotte aux alentours de 16 heures. Ceux qui avaient une Tesla à conduite autonome (c'est-à-dire personne) purent rentrer chez eux en roupillant au volant, les autres rentrèrent aussi chez eux en roupillant au volant. Aux dernières nouvelles chacun est arrivé à bon port.

Jérôme

(avec les photos de Yannick)


La sortie en images qui bougent :



1 janv. 2024

Désobstruction Janvier 2024 (20 sorties)

SUR VENCE : 3 sorties.

-Baou des Blancs, Baume Chabert (x2) : SUITE TOPO, 122m mesurés, développement actuel de 331m. Désob passage de jonction entre petite bulle sous 2e salle et petite salle réseau à gauche.

-Colle Bertrand, aven du beau sapin : désob terminus à -5m.

SUR ROQUEFORT LES PINS : 8 sorties.

-Debram, Aven du Chapeau Chinois (x2) : dans réseau de -8m, désob passage du milieu.

-Rives du Loup, Grotte de la Solitaire (x2) : désob suite à gauche (jonction avec grotte du crâne).

-Les Bertrands : aven des blocs moteurs (x2) : désob terminus bas en fracture, prise de mesure, prof de 9.5m et dev de 14m.

-Le Clos, aven du gros pin : désob terminus, pas de suite évidente, chantier terminé.

-Pont de Pierre Sanpeyre : prospection colline cote 208m, rien trouvé.

SUR LA COLLE : 4 sorties.

-Grotte des barres : désob passage vers 2e entrée.

-Grotte de la Mandibule : désob terminus.

-Grotte de la cheminée : désob terminus.

SUR VILLENEUVE LOUBET : 2 sorties.

-Grotte du Mardaric, 161B (x2) : dans le réseau fossile, à droite dans la galerie principale : Désob du terminus où on a entrevu la suite du côté droit. 33 bidons de 10 litres sortis. Au total : 223 bidons de 10 litres depuis l’ouverture du chantier.

SUR COURMES (x1).

-Serre de la Madeleine : prospection : trouvés +2 départs en laminoir non encore ouverts ; +1 fracture en hauteur, vue sur 4m et 1,5m étroit. +1 autre fracture en hauteur, avec un arbre qui pousse au milieu. Escalade à faire pour y accéder. + une grande baume sur fracture se poursuivant en hauteur, escalade à faire avec perfo…

SUR ESCRAGNOLLES (x1).

-Grotte des Tarentules : désob avec Pierre (report d’une précédente sortie annulée suite gastro !).

SUR CIPIERES (x1).

-La Baume : Mathieu avec le Club Martel.

-SORTIES CLUB :

Var,  sortie club annuelle pour fondue (cf article dans le meme blog). Roquefort, Aven du Lapin (105E) : initiation.

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29 déc. 2023

Des nouvelles du Craignos

Participants : Daniel, Jérôme

TPST : 0h50

Notre ami Chouca, désormais exilé à l'autre bout de la planète, m'avait contacté la semaine dernière depuis le pays des niaquoués pour me demander d'aller jeter un oeil à son trou fétiche, le Craignos, afin de voir si les installations n'auraient pas trop souffert des fortes pluies de début décembre. Ne pouvant rien lui refuser, j'ai donc convié le président Dada à sacrifier une poignée d'heures de cette avant-veille de réveillon pour enquêter.

Nous arrivons au camp de base vers 13h40 et constatons qu'à priori rien n'a été pillé ou saccagé. Le coffre électrique est intact, le président compte les petites cueillères et les verres : tout y est, même une bouteille de rosé visiblement périmée. Après nous être rapidement mis en tenue, nous pénétrons l'exurgence à 14h. Quelques blocs amenés ou déplacés par l'eau nous obligent à faire le ménage ça et là, mais la route est libre jusqu'à la salle de la dune. Au passage nous constatons la puissance de la crue qui a fait valdinguer l'ancien tuyau de pompage. Dans un petit kit plein de flotte nous retrouvons la pompe à pied qui jadis servit à Chouca pour gonfler sa licorne d'exploration aquatique. Le câblage électrique n'a pas bougé, en revanche le sable est revenu en force dans la grande salle, créant ainsi une jolie petite dune.

La crue a également remodelé le cheminement jusqu'au fond, découvrant des blocs et accumulant du sable, sable dans lequel le Président faillit laisser ses bottes.

Nous nous glissons dans la trémie terminale qui abrite la pompe et sommes rapidement arrêtés par l'eau, dix centimètres au dessus de l'IPN. 

La météo n'annonçant pas de précipitations notables avant mi-janvier, le niveau dans la trémie devrait donc continuer à baisser.

Il est 14h50 quand nous ressortons du trou. Le Président me dit qu'il va enfin pouvoir aller fourrer la dinde qu'il n'a pas pu fourrer à Noël. Je lui réponds que je ne veux rien savoir de ses pratiques déviantes afin de conserver intact le mystère de la vie sexuelle des dirigeants d'associations spéléologiques...


Jérôme


1 déc. 2023

Désobstruction Décembre 2023 (22 sorties)

SUR VENCE : 2 sorties.

-Baou des Blancs, Baume Chabert (x2) : désob du passage à gauche suite topo dans petite salle. Désob petite bulle dans conduite à droite sous 2e salle. Désob lucarne au bas de la descente vers la 2e salle, entrevu conduit sur 2-3m.

SUR ROQUEFORT LES PINS : 8 sorties.

-Debram, Aven du Chapeau Chinois (x3) : désob dans réseau de -8m sur 3 passages.

-Rives du Loup, Grotte de la Solitaire (x4) : désob suite à gauche (jonction avec grotte du crane). Même chose depuis la grotte du crane, désob et jonction avec la grotte de la Solitaire.

-Aven du Lapin (105E) visite du petit réseau dont le départ est dans le grand puits d’entrée : équipement, accès et calibrage du départ, P6. La suite est bien boueuse.

SUR LA COLLE : 4 sorties.

-Grotte des barres : désob passage vers 2e entrée.

-Grotte de la Mandibule : désob terminus.

-Grotte de la cheminée : désob terminus.

SUR VILLENEUVE LOUBET : 4 sorties.

-Grotte du Mardaric, 161B (x3) : dans le réseau fossile, à droite dans la galerie principale : calibrage du conduit. Désob du terminus où on a entrevu la suite du côté droit.

-Grotte du Nœud de racines : désob suite à gauche au 1er carrefour sur 4m. Désob suite à droite ; prise de mesures dev 18m.

SUR GOURDON (x1).

-Le Craignos : visite et état des lieux suite aux crues du début du mois (Dada et Jérôme) :

SUR GREOLIERES (x1).

-Costes du Foulon : prospection des barres, trouvé 3 petites baumes, visite des tunnels de l’aqueduc du Loup dont le plus long fait 600m.

SUR SAINT-CEZAIRE (x2).

-Grotte de l’air froid (117U6) : désob du terminus à 350m de l’entrée, petite 1ère (Avec Pierre et Raphaël).

SORTIES CLUB :

Roquefort, Pibou Haut, aven du haut Pibou : visite club et photos. Visite aussi du 105N2.

Pour le club,

Christophe