23 févr. 2014

Aven du Haut Pibou

Présents : Mathieu & Rémy
TPST : 3h


Ayant photographié des fistuleuses rouges à l'Aven du Haut-Pibou en 1981, Rémy a souhaité renouveler l'expérience avec son boitier jaune à 36 millions de pixels, mais malheureusement toutes ses tentatives pour retrouver l'aven se sont jusqu'à présent soldées par un échec. Nous profitons de cette belle journée où personne n'a voulu sortir pour programmer une séance macro entre photographes.

Après s'être retrouvés en bas de chez moi à 14h, nous partons à Roquefort-Les-Pins. Ayant apporté trois sacs, une corde, une machette et deux chaussures gauches, Rémy s'est trouvé un peu embêté pour transporter tout ça. On met donc deux sacs en un et je prends la corde et la machette. Mais finalement, les chemins à travers la forêt ont été nettoyés relativement récemment et on arrive au trou sans aucune difficulté. Je rentre en premier vers 15h et on se fait passer les kits au ressaut d'entrée et à celui de la grande salle.

Après une visite rapide, une grosse déception s'impose à nous : Rémy ne retrouve pas ses fistuleuses rouges, il n'y pas grand-chose à photographier et il y a de la boue de partout. Les conditions vont s'avérer assez difficiles.

N'étant pas venu pour rien, je jette quand-même mon dévolu sur un mur présentant des petits concrétionnements jaunes et Rémy prend une autre zone un peu plus loin avec beaucoup moins de boue. J'en arrose quelques uns à la Saint-Yorre et j'attaque une petite séance au 100 mm macro sur boitier rouge. Étant donné que toutes les concrétions sont collées contre le mur, c'est assez difficile d'avoir du vide derrière pour obtenir un fond sombre. Au bout d'un moment, Rémy ne sait plus quoi faire et on décide de remonter.

On sort vers 18h après avoir apprécié à sa juste valeur une ouverture de sortie qui se défend toujours très bien. Au retour Rémy en profite pour s’emmêler dans les ronces, histoire de ne pas avoir amené la machette pour rien. Nous arrivons à la voiture à la tombée de la nuit.

Mathieu - Lien vers le reste de l'album : Aven Du Haut Pibou

Beaume Robert

Présents : Christian Verduci, Fred & Flo (GSV)
TPST : 6h30


Aujourd'hui, nous nous joignons à Christian pour aller bosser au réseau fossile de la Beaume Robert. RDV à 9h au Rouret, après une courte nuit arrosée. Nous étions quatre de prévu, mais un désistement suite à une blessure nous ampute d'une partie de notre force. Christian craint qu'il y ait beaucoup de boulot de maintenance suite aux dernières fortes pluies. On entre dans la cavité vers 9h45, notre hôte étant déjà descendu et ayant checké la salle Menard.

On se dirige vers l'armoire électrique, comme d'habitude, où Christian va opérer ses interventions. La grosse pompe ne semble guère endommagée et l'armoire n'a pas été immergée. Malgré les quantités d'eau tombée en février, le niveau dans la Beaume n'a pas été si élevé (que de rimes !). Et c'est tant mieux. On laisse donc Christian pour le moment et passons voir la salle des Trois Christian avant d'aller au fossile.
Le canoë a bien bougé et s'est encastré derrière le barrage. Il faudra les réparer.

Arrivés au sec, on commence par vider les seaux de la précédente séance avant de continuer de creuser au fond en suivant la paroi. Une voûte nous protège, avec une légère inclinaison. Christian nous rejoint rapidement, il y avait moins à faire que prévu. Casse croûte à midi accompagné d'un mal de dos... 
On tirera quarante seaux dans la journée, pour avancer d'une cinquantaine de centimètres dans ce colmatage. On en profite pour aménager un peu : ajout d'une lampe, élargissement du passage. On décolle vers 15h pour remonter doucement à la surface. On arrive aux voitures vers 16h15, sous un doux soleil. Une autre séance est planifiée pour dimanche prochain (02/03/2014), à bon entendeur ;)

Flo




16 févr. 2014

Aven Sauvage

Présents : Nico & Annabelle (ASBTP), Loïc (SophiTaupes), Flo (GSV)
TPST : 3h


A l'origine, un barbecue sur le plateau de Cavillore, à la grotte de Pavel, que l'on complète par un peu de spéléo. La météo étant clémente, on pensait partir tôt, de manière à devancer les randonneurs/barbec' et ainsi manger avec eux, après avoir visité le Sauvage. On se donne RDV vers 8h30 pour préparer les kits. Mais le fait est que nous arriverons après tout le monde au parking du bas du plateau, vers 10h... Nous y retrouvons ainsi Olivier (SCV), l'organisateur de la journée, ainsi que des amis. 
Nous nous préparons et attaquons tous ensemble la montée vers le plateau de Cavillore. On se croirait au printemps. Nous rejoignons Pavel, son épouse & Eric (SCV) qui nous attendaient en haut du plateau. Nous continuons notre chemin jusqu'à la grotte, où nous arrivons avant midi. Nous laissons nos amis pour aller visiter le Sauvage et les rejoindrons après cette excursion. Nous sommes donc quatre à aller sous terre, et une douzaine de personnes en charge du barbecue et de se régaler.

Nico commence par équiper l'enchainement des deux puits d'entrée. Je le suis en trafiquant un peu son raboutage de corde et on se retrouve dans la première salle. Je ne m'attendais pas à voir une cavité si décorée, vu que personne ne veut jamais y aller. Pendant qu'Annabelle et Loïc descendent, je commence à équiper la suite. Premier problème, la fiche d'équipement ne correspond pas à ce que je vois et je dois piquer des mousquifs du puits suivant.
On continue tranquillement jusqu'au P12 où l'on rate un spit de la main courante, ce qui la rend un peu tendue (frottement). A ce moment, on galère à trouver le bon équipement, la fatigue de nos sorties respectives de la veille se faisant ressentir, ainsi que la faim et le froid.

On décide d'être raisonnable et de rebrousser chemin. On s'arrête donc vers les -45/-50m en laissant le binôme Annabelle/Loïc partir se réchauffer et se restaurer dehors, auprès du feu. Nico commence par déséquiper, puis je prends la relève pour les deux puits d'entrée, chacun déséquipe ce que l'autre à équiper. Nous sortons vers 15h30, sous un brouillard naissant. Place au miam-miam ! 

Nous décollerons une heure plus tard de la grotte. Le temps de ranger tout le matos et d'éteindre le feu, nous perdons le groupe de tête (ceux connaissant le chemin). Et le brouillard s'épaississant n'arrange rien ! On se paume et tournons un peu en rond jusqu'à retrouver les barres du plateau. A partir de là, nous n'aurons plus qu'à les longer pour retrouver le chemin. Arrivés au parking vers 18h, où personne ne nous a attendus.
A refaire, au printemps ou en été, en refaisant une fiche d'équipement à jour et des photos !

Florian

15 févr. 2014

Aven Beaulieu

Présents : Paul, Alex, Nico & Dgé (Magnan), Fred & Flo (GSV)
TPST : 12h


Paul m'avait proposé de me joindre à eux pour une sortie au Beaulieu dont l'objectif serait de faire équiper tout le monde, et particulièrement les "débutants" en équipement. Étant tout de même raisonnable, Paul avait fixé d'aller jusqu'à -300m. Fred se joindra à nous (yeah ! pas seul du GSV !).

RDV vers 9h30-10h à la Moulière avec les Magnans, moins nombreux que ce qu'ils pensaient. Ça nous fera porter un peu plus de kits par personne, mais ça reste assez sage. On se pointe donc pour l'heure convenue alors que les Magnans ont encore une bonne demi-heure de route à faire. Autant exploité ce temps à bon escient, on prend un café et un pain aux chocolats au bar ! Et je fais réviser quelques nœuds à Fred (mais c'est moins important ça)
Dès leur arrivée, on se prépare et on définit l'ordre de descente, et donc, des équipeurs. Nico se voit offrir une frontale, dont il ne manquera pas d'en faire l'éloge toute la journée. Dgé a pris des raquettes pour bien tasser la neige sur le chemin jusqu'à la cavité. Bonne idée, au moins il ne s'enfonce pas de 50cm à chaque pas... J'ouvrirai la voie, à 11h30, avec les trois premiers puits en prenant soin de purger toute la neige autour du puits d'entrée. Ça n'empêchera pas de recevoir pas mal de neige dans la tronche, mais c'est fun. Quelques chauves-souris dans la première salle nous accueillent ; on en croisera plusieurs jusqu'à l'actif.
La descente s'accompagne de doux chants traditionnels spéléos avec les ténors et barytons que sont les Magnans. Fred a un gros soucis avec ses nouveaux mousquetons de longes... le vendeur l'a bien arnaqué en lui proposant du matériel "adapté à la spéléo", les doigts des mousquifs restants bloqués après trois puits. On emprunte le rab de matos pour lui remplacer les mousquifs sur le reste de la sortie. 
Nico prend la seconde section de puits. C'est la première fois qu'il équipe sous terre, champagne ! En plus, il équipe bien ! On s'arrête à la salle du Squelette pour casser la croûte, vers 13h30. Nico reprend la suite de son kit après ce break. La cavité mouille pas mal, mais il semblerait qu'il y ait déjà eu bien pire.
On progresse doucement, mais surement. Paul enchaîne sur l'équipement, puis Fred. Ou bien l'inverse... Je ne sais plus (et Fred non plus...). D'ailleurs, Fred manquant d'expérience à l'équipement, il est accompagné de Paul qui lui prodigue avis et conseils.
Pour pimenter l'aventure, Paul et Nico rajoutent des nœuds au bas de la corde d'un puits arrosé, de manière à ce que l'on reste bloqué sous la cascade. Les ayant vu faire, je remonte la corde pour défaire leur blague et descend, tout fier. Sauf que Nico m'attends pour tirer sur la corde et m'empêcher de finir le puits, je me suis bien fait arrosé ! 

Alex et Dgé nous abandonnent après les premières désescalades, vers 17h. On décide de continuer encore un peu et je reprends l'équipement. Les désescalades sont de plus en plus délicates et nous décidons de s'arrêter devant un ressaut non équipé bien casse gueule. Nous pensons être vers les -250m et il est déjà 18h. On attaque la remontée après une pause grignotage où l'on se rend compte que c'est Alex qui a le kit bouffe... On se retrouve avec un litre d'eau pour quatre et quelques boosts (pâte de fruit, barre céréales...).
Je déséquipe en premier de manière à avoir un kit plein rapidement. Paul prendra ensuite la relève et on dispensera Fred de porter un kit, la fatigue l'ayant bien rattrapé. On reste en permanence à porter de vue ou de voix, à cause de l'itinéraire quelques fois délicats, de la fatigue et des kits (mention à Roland, qui a désormais un chant qui lui est dédié, en anglais !). On se mouille à deux reprises lors de la montée, et c'est forcement sous les puits arrosés que les bloqueurs ne bloquent plus...

Je passe la tête dehors vers 23h30, suivi de Fred. Nous n'attendons pas Paul et Nico à cause du froid et de nos combis trempées. Ils nous rejoindront au parking plusieurs minutes après, avec une discrétion envoutante. Alex et Dgé sont remontés près de trois heures avant nous et ont tué le temps comme ils le pouvaient. Une fois changés, on se congratule par une douce collation : café, bière, gâteaux, bugnes. Puis on se sépare pour aller se mettre au chaud dans les voitures et surtout rentrer à la casa (vers 2h du matin). Merci aux Magnans pour cette sortie !  

Florian

8 févr. 2014

Cordes trop courtes ! à la Carrière Romaine

Présents : Marjolaine (Canyon), Nico (ASBTP), Paul & Alex (Magnan), Pascal (EDS06), Flo (GSV)
TPST : 5h

Une journée formation, encadrée par Pascal Zaoui, sur le thème des cordes trop courtes / rabouts de cordes. Ça parait alléchant n'est-ce pas ? Surtout quand on profite du cadre des carrières romaines de La Turbie, avec des prévisions météo raisonnables (prévu du beau temps au moins jusqu'à midi). Comme tout le monde a pu le constater, il a plu beaucoup plus tôt que prévu !

Pascal avait fixé le RDV à 9h30, sur place, aux cinq participants. Au programme : travailler et réfléchir sur le thème du jour (rabouter des cordes courtes), avec comme objectifs : 
  • rabouter au fractio, sur corde fixe 
  • rabouter plein vide, sur corde fixe
  • rabouter contre paroi, sur corde fixe
  • rabouter contre paroi, sur corde rappelable, si manque 1 fois la longueur de la hauteur (canyon)
  • rabouter contre paroi, sur corde rappelable, si manque - de 1 fois la longueur de la hauteur (canyon) 
  • équipement + questions diverses
On attaque donc par la théorie avec rappels des règles de préparation de corde : nœud de pêcheur double, nœud de huit, queue de vache. Puis démo des différents types de raboutage, sous les premières gouttes de pluie : le triple huit tressé lorsque l'on est plein vide / contre paroi, les différents tressages selon un fractio mono ou double points. Et place à l'exercice ! Chacun prend son lot de mousquifs, de bouts de cordes et sa voie. Tout le monde réussit son épreuve et on enchaîne sur une seconde série, sur une autre voie. Midi approchant, Pascal ne me laisse que 4 minutes pour passer mon nœud. Je finis pile dans les temps (à la seconde près, comme dans les films d'action !).

Break repas pour se mettre un peu à l'abri de la pluie avec, d'un côté, le poulet rôti et les chips, et de l'autre, la soupe aux champignons de forêt et morceaux de Schroumpfs. On finit par un thé chaud à la menthe, ou rouge, au choix !
On enchaîne l'après-midi sur les techniques de raboutage avec corde rappelable. N'ayant jamais utilisé de shunt, j'ai besoin de m'exercer sur le plat pour bien m'imprégner de la manipulation. On se prend une bonne averse (encore une) tandis que Paul réalise la manip' contre paroi. Alex commence à déséquiper une voie, ainsi que Nico et moi, alors que Marjo veut réaliser elle aussi l'exercice avec le shunt. Elle était encore sur la corde lorsque nous sommes partis, trois heures plus tard. Si quelqu'un passe par là un jour, il pourra la décrocher SVP ?

Merci à Pascal pour cette journée instructive et enrichissante, malheureusement écourtée par la pluie.

Florian

2 févr. 2014

Grotte des Trois Mille Pattes

Présents : Daniel, Mathieu & Fred
TPST : 7h15

RDV à 9h15 avec Mathieu et Fred pour monter au Baou des Blancs, à la grotte des Trois Mille Pattes. Ciel couvert, petit crachin au départ. Entrée pour 10h30 ; nous allons dans le réseau du haut pour faire des photos. Il faut être deux pour tirer le gros kit de Mathieu. Nous faisons surtout des photos dans la grande salle du Cierge Blanc.

Vers 13h, on casse la croûte. Puis, avec Fred, on va revoir le réseau qui est sous la salle, pendant que Mathieu continue ses photos en solitaire. Fred passe une étroiture que j'avais commencé à élargir et donnant dans une petite salle. Il poursuit dans une galerie croyant faire de la première... mais il est retombé dans le réseau déjà vu avec Florian le 17 janvier.
De l'autre côté, après le R4 calcifié, Fred ouvre un passage vertical entre blocs qui va jonctionner avec la première salle de ce réseau. Juste avant la cheminée d'accès, un peu avant il y a une lucarne à ouvrir donnant dans une autre salle.

Ensuite, nous allons dans le réseau Historique. Nous allons voir la future sortie où je passe un fil de fer blanc à bout rouge entre les blocs pour la rechercher en extérieur. De retour à la salle, on se reboit un café accompagné de Fingers amenés par Fred, avant de sortir pour 17h45.

Dada

PS : le lendemain, Dada ira  prospecter sur le plateau mais ne trouvera pas son fil de fer, témoin de la future traversée, après 5h de recherche. Une nouvelle tentative est prévue, par la voix !

Grotte de la Mescla - Crêpe Party !

Présents : Nico, Chris & Mél (ASBTP), Fred, Tony, Nath', José & Laurence (SophiTaupes), Guillaume (CRESPE), Yoann & Flo (GSV), another Nath'
TPST : 4h30

Pour la Chandeleur, Nico a proposé aux clubs du 06 de célébrer cette fête païenne ensemble, autour de crêpes. Nous étions allés jeudi dernier faire du repérage après avoir renoncé au Fourchu, à cause de la neige.

Les plus courageux se sont donc retrouvés à 10h à la Mescla, pour amener le reste du matos, préparer l'installation, allumer des bougies et aller balader, s'amuser, se mouiller dans les réseaux. Je les aurai bien accompagné sur ce créneau horaire, mais en se couchant à 6h15, c'était dur... Plus le fait que Yoann soit toujours bloqué par sa sciatique, il aurait poireauté dans ces galeries, froides, lugubres et hostiles ! 
On retrouve donc tout ce beau monde pour midi. Ça a dur être folichon pour les matinaux, vu que certains se changent et d'autres sont couverts de boue. Côté des Taupes, ils en ont profité pour emmener Laurence en initiation, qui semble ravie ! D'autres ont également commencé à remplacer le premier tronçon de la corde de la traversée, celle complètement tonchée. Selon les dires, Nico serait même allé jusqu'au siphon Spada mais ne l'aurait pas traversé car personne ne l'accompagnait. S'il m'avait attendu, j'y serais allé sans hésiter ! 

On commence à faire les crêpes sur la superbe installation de réchauds et crêpières, avec une "patacrêpe" made by Nico. Il semblerait que l'odeur ait attiré du monde puisque le reste des spéléos arrivent petit à petit. L'initiateur de cet ambitieux projet profite pour nous présenter l'origine de la Chandeleur (fête païenne, puis adoptée par les chrétiens, symbole de la crêpe, ...).
On se régale en dégustant toutes sortes de mélanges salés (jambon, fromage, salade, chauve-souris) et sucrés (nutella, crème de marron, niphargus, ...), accompagnés de cidre (of course !). 

On croise des personnes, certainement en initiation, du site OnVaSortir encadrées par un spéléo. J'ai beaucoup aimé quand le spéléo revient et nous demande si on a vu les enfants... 
Une partie des spéléos nous quitte après le repas, tandis que d'autres rangent. J'accompagne Chris et Guillaume qui veulent vérifier une escalade. Je ne sais pas pourquoi, Chris me demande de l'assurer (peut être l'avantage du poids en cas de chute ?). C'est pas évident d'assurer un gars lorsque l'on a une bière à la main... En haut de l'escalade, ça cut ! Au moins, on est fixés.
On enchaînera sur le reste du rééquipement de la traversée avec le même trinôme. Les derniers spéléos retournant aux voitures pour se changer et nous attendre au sec.
Guillaume profite pour faire trempette avec masque et Scurion ; il nous ramène un tuba, un vieux mousquif avec de la corde dynema et un APN qui a un peu souffert de son repos prolongé dans l'eau. En arrivant vers la sortie, une surprise nous attend, cloitré dans un coin... Je pense que vous comprendrez avec la photo ci dessous =)
Merci à Nico pour l'initiative et l'orga, et à tous les participants pour la bonne ambiance !

Florian