28 nov. 2015

Deux Blaireaux à Favot (Vercors)

Présents : Sarah & Florian (CSTroglos)
TPST (en comptant dès le 1er porche) : 7h

Vu que les trois quarts dispos du club (CSTroglos) étaient au plateau des Glières ce weekend là, on décide d'aller balader dans le Vercors pour faire de la photo à la grotte Favot et aller voir le porche de Bournillon.
On décolle après un café isérois pour arriver au parking de Favot, un poil avant 10h (à peine chercher où c'était... à partir du pont de la Goule Noire).
On s'équipe avec 5 - 10cm de neige, repérons des traces de la veille, certainement, et attaquons la montée. Ne sachant si c'était des traces de randonneurs ou de spéléos, on a coupé droit dans l'éboulis enneigé (me suis fié au bouquin). Après avoir bien galéré, je vois que les traces rejoignent le bord de l'éboulis... bon, ben c'était bien des spéléos alors.
La 1/2 heure de marche d'approche se transforme en 1h à cause des genoux douloureux de Sarah, la neige et les glissades n'aidant pas !
 
Mais une fois arrivés au premier porche, on se régale déjà de la vue offerte et des stalactites de glace sur les arbres ! (bon, par contre, casque obligatoire, ça tombait sur la tronche les glaçons !)
On enquille le ramping pour accéder au 2nd porche... MAGNIFIQUE !!! On m'avait dit que Favot valait le coup juste pour voir le tunnel d'entrée ! On ne m'avait pas menti !!! (pour ceux qui ne connaissent pas, c'est une superbe conduite forcée de 5m de diamètre... sinon, les photos arrivent).
Forcement, on prend le temps d'y faire de la photo (maintenant qu'on est au sec et "au chaud"). Ce qui fait que l'on ne pénétrera réellement dans la cavité (en bas du tunnel) que vers midi et des poussières.

On attaquera par les petites branches pour aller jusqu'à la fosse aux Ours... autant cassé le rêve de suite, y en a pas !!!
Le parcours est varié et un peu concrétionné (mais vieillot). On trouve un graffiti de "chez moi" : "Centre Mermoz Cannes (23.8.46)" ; je n'ai rien trouvé sur Internet là dessus... et je me demande si ça correspond bien à une date. Dans ce cas là, ça remonte un peu !
On s'amuse à essayer différents passages qui finissent par redonner sur les même galeries. Y a de quoi faire le jeu du Chat et de la Souris là dedans.

Encore quelques clichés de ce côté avant de retourner au Pont rocheux (bas du tunnel) où on avait laissé la bouffe... il est 14h passé !!! FAIM !!!
Vu l'horaire, on se dit que Bournillon sera pour une prochaine fois... On profite de Favot à fond et on prend plus de temps pour les photos !

On repart en traversant un grand éboulis (grande salle magnifique... photo à y faire), on tente une plus petite galerie qui semble rejoindre le dôme (ou le bas ? pas évident cette topo...), mais colmaté par du sable. En grattant, ça pourrait passer ; en plus, du sable fin comme ça, c'est du bonheur !
On arrive au niveau du grand dôme de calcite, après avoir passé des gours : encore un grand volume où plonge cette coulée. On n'a pas prévu de descendre les puits mais c'est bien tentant... une prochaine fois !
On passe par dessus le dôme, en équipant une corde pour se sécuriser même si les marches taillées sont très confortables. Derrière, c'est encore un beau spectacle avec des petits lacs et des concrétions plus actives. On voit deux petits rhinolophes d'un côté et leur laissons la paix pour aller vers le boyau des Fadas...
"Qu'est ce qui les a poussé à creuser ici ?" (question de Sarah, si quelqu'un sait...)

On refait de la photo sur ce secteur avant de rebrousser chemin. L'heure file et le mal de crâne me les brise sévère... on va peut être ressortir. Notre objectif horaire est complètement foutu de toute manière, mais on aura bien profité pour visiter la cavité.
On pointe le nez dehors à 18h, la nuit est là et les éclairages des quelques villages éclairent partiellement les gorges, pendant que des voitures circulent plein phares. Les stalactites de glace sont presque toutes tombées... on en aura pas pour notre Ricard !
Avec le froid, ça a déjà regelé par endroit. On descend prudemment, ça serait con de se blesser maintenant. A un peu plus de la moitié du parcours, on "abandonne" les traces de pas pour suivre une grande pente en ligne droite ! Je pense qu'il y en a qui ont tracé droit la veille et c'est franchement fun à faire !

La voiture est toujours là... gelée... les portières ont un peu de mal à s'ouvrir mais ça passe. Le plaisir de s'habiller chaudement après les premières neiges de la saison. Retour tranquillou de nuit en grignotant.
Je retournerais bien à Favot pour photographier le reste (le grand dôme, la salle d'effondrement, ...) et descendre les puits.

L'album photo : ici !

Florian

15 nov. 2015

Aven Obscure

Présents : Ondine, Léo, Rémy, Daniel et Mathieu
TPST : 3h40

Maintenant que Léo a appris à passer les fractionnements en falaise, nous passons à une première application en conditions réelles. La cavité retenue est un petit bijou accessible à des spéléos débutants : l'Aven Obscure. Elle était sensée rester secrète pour la préserver, mais le secret s'est peu à peu éventé, juger plutôt sur de vieilles photos :

De Aven Obscure - 7 Octobre 2012
ou encore:

De Aven Obscure - 7 Octobre 2012
On se retrouve donc à 8h30 à Vence, et on rejoint Ondine à 9h30 à Saint Vallier. Dada commence à équiper à 10h30. Il est suivit d'Ondine, Rémy, Léo et moi-même qui ferme la marche.

Après une visite rapide, nous mangeons dans la salle et nous remontons. A 14h10, tout le monde est ressorti.

Comme il nous reste un peu de temps, nous allons faire un tour à l'Aven de Vallens. Rémy se précipite pour équiper et arrive en bas sans avoir mis aucun fractionnement. Du coup, plus personne ne veut descendre le rejoindre.

Voici, ce que nous avons manquer :

De Aven Obscure - 7 Octobre 2012
Ce sera pour une autre fois.

Mathieu



14 nov. 2015

On a cherché Grotte Roche (Vercors)

Présents : Joce, Bruno, Florian (CSTroglos)
TPST : 6h environ

Une petiote sortie photo dans le Vercors pour emmener mes deux petits vieux que sont Joce & Bruno !
Départ 8h du local où l'on croise l'équipe d'initiation de Vaux St Sulpice, en séance de dernières préparations.

Ça roule bien, dans un brouillard intense par moment, mais nous arrivons tout de même au carrefour de la goule noire / goule verte vers 9h40. La route des gorges de la Bourne ayant été refaite, je n'ai pas vu le parking de grotte Roche ! J'étais pourtant persuadé de l'emplacement mais aucun parking en terre... et des travaux sont encore en cours... Je cherche en contrebas du pont des goules mais rien ne semble envisager un porche, et de toute manière, on est bien trop bas... Bruno remonte alors les gorges pour voir si un déclic n'arriverait pas. Je le rejoins et on trouve l'entrée à son emplacement habituel (l'inverse serait étonnant). Le parking est désormais en goudron ! (info importante quand on prend des mauvais repères comme moi).

On se change et filons nous mettre sous terre, vers 10h30. Toutes les photos seront faites au retour, alors on fixe directement l'objectif sur le siphon, en passant par la galerie de la Persévérance et l'échelle dans la salle de la Colonne. Le puits et la MC sont toujours équipées en fixe (pas noté de changement de matos par rapport à ma visite du mois de Mai). On abandonne ici le kit avec la corde de secours, on n'en aura pas besoin pour aller au fond.
Petite déception quand je revois le balisage... j'avais oublié qu'il y avait des balles de golf sur les piquets !!! La prochaine fois, j'amène un club pour faire une photo (à bon entendeur, s'il y a des golfeurs parmi les spéléos).

On approche le siphon et je lève la tête... comment ai-je pu rater ce beau plafond la dernière fois ? 
Et ce bloc en équilibre entre les parois... avais zappé aussi !
Bref, le siphon est bien bas !!! La réglette ne touche même pas l'eau ! D'ailleurs... siphon... la marre aux canards quoi ! Bruno l'a même passé en apnée !!! Je l'ai toujours pas vu ressortir par contre... ça doit être un champion d'apnée dans son domaine !

Petit retour pour manger au plat et au sec ; on se fait un café ? Allez ! M****... oubliés le briquet...
Tant pis, on écourte et passons à la photo ! Au total, 80 clichés à trier pour 12 spots différents (galeries entre le puits de la vire et le siphon -> 8 spots ; puits la salle de la Colonne en rapide, un plafond et le porche d'entrée... ça fait 11 spots ? ... euh...).
Pas toujours évident de trouver comment mettre en valeur un élément précis sans le surexposer ou dégrader le reste de la photo. Mais Bruno et Joce sont bien patients ! Merci !

Sur le retour, je mets un coup de boost lorsque l'on est dans la salle de la Colonne. On a déjà choisi d'éviter le labyrinthe à cause de l'heure qui avance vite, et c'est déjà 17h40 sur l'appareil photo lors du dernier cliché !!! Bruno a RDV impératif à 20H ! GOOOOO !!!
C'est bizarre que l'on ait tant de lumière pour 18h... euh... Je crois que j'ai pas changé l'heure sur l'appareil photo.

On a le temps de prendre un (bon) café avec le briquet de la voiture et on range tout dans le noir. Time to go back to Lyon... au moins, on n'a pas trop de matos à laver !

Le reste des photos : ici !

Florian

8 nov. 2015

Photographies à l'aven Saint Joseph

TPST : 10h30
Présents : Chris (ASBTP) & Florian (CSTroglos)

Je profite d'un long week-end sur mes terres natales pour aller faire une sortie photo avec Chris, à l'aven du Saint Joseph (Saint Vallier de Thiey). Fort heureusement, la météo a été clémente sur la semaine ! Le boyau passera ! C'est sûr !

Dimanche matin, je retrouve Chris à Pré du Lac pour prendre un café et covoiturer pour aller sur le plateau de St Vallier. Sur place, un beau soleil nous accueille même s'il ne fait pas super méga chaud (ah ouais, on est en novembre...). On se prépare doucement en se projetant les différents spots photos : le grand puits de 70m, la galerie du Rat, la rivière, la galerie fossile...
On a nos appareils photos, nos flashs, nos déclencheurs, nos piles, notre matos de progression ... On a rien oublié ? Génial !!! 

Chris s'engagera en premier sous terre à 10h et équipera le puits de 25m faisant suite au ressaut. Jusqu'à là, c'est partie de plaisir ! Puis, petit à petit, je redécouvre la cavité...
"P*****, mais y avait ça ici ?"
C'est fou comme la mémoire conserve ce qu'elle veut : les belles galeries du fond, le grand puits... mais rien de rien sur ces étroitures !!!

Bref, on avance doucement en se faisant passer les kits dès que possible, surtout dans le boyau où les coudes serrés nous forcent à se contorsionner (vous inquiétez pas, ça vaut vraiment le coup comme cavité).
On arrive tout de même à la tête du P70 avec quelques sueurs et avec le corps bien mouillé (et oui, le boyau mouille...). "Y a pas à dire, la spéléo, c'est une belle passion !" (ça sera notre phrase de la journée).
Chris équipera le puits en me gratifiant d'un magnifique monologue : "Et si on mettait un mousqueton ici ? - Ah oui bonne idée Chris ! - Merci Chris ! - Et ce nœud, t'en penses quoi ? - Nickel, beau travail ! - Merci - De rien" (ça a duré quelques minutes quand même... je tiens à préciser qu'il est sain d'esprit... enfin je crois...).

Chris descendra en tête pour positionner son appareil et trépied en bas du puits. Une fois prêt, j'attaque la descente en la ponctuant d'arrêts avec les flashs en main. Chris en a fait un montage en assemblant les images mais le résultat n'est pas exactement ce que l'on escomptait...
 
En même temps, c'est notre premier essai avec ce type de photo. Mais le puits parait tellement plus petit que les 70m réel... N'empêche, j'ai moins serré les fesses que la première fois que je l'ai descendu !

On ira ensuite se mettre au sec dans le fossile et ça sera changement de combi : bye la Luire, hello la néo' !
Ô belle rivière du St Jo ! Que ton eau est claire !

On filera jusqu'à la voute mouillante 2 pour ensuite faire les photos sur le retour. Quelques clichés dans la rivière (dont certains dont je ne suis pas satisfait... pas évident de jouer avec les reflets des flashs sur l'eau et le snoot de Chris crâme les photos ! Satané matos coréen ou chinois !).
On avance petit à petit en alternant les spots et en arrivant au croisement de la galerie du Rat, on va s'engouffrer dans ce ramping boueux... Je me souvenais que j'avais bloqué avec le baudard à l'époque ; mais je suis tellement svelte maintenant (interdiction de se moquer) que ça passe tout seul !

Derrière, c'est comme dans les souvenirs : grand et sale... Mais ça vaut le coup de se pourrir pour cette galerie !
Rebelotte pour les photos : chacun son tour, chacun son spot !
Et après avoir pris 10 kgs grâce à la boue, on peut repartir ! Difficilement...

Petite pause dans la rivière pour s'enquiller une part de pizza et un sandwich !
Photos photos et on retourne au fossile ! (on dirait que c'est rapide mais il était 17h quand on a retrouvé nos combis "sèches"). On fait encore quelques clichés et mangeons un plat lyophilisé chaud ! (et oui, chaud, c'est meilleur).

La remontée du P70 se fera assez bien : on emprunte l'équipement en fixe fractionné. Y a des passages étroits de ce côté mais au moins ça fluidifie la montée. On déséquipe et arrive le moment rêvé du boyau... dans le sens inverse...
La phrase du jour nous revient... "La spéléo, c'est une belle passion !"... P***** faut vraiment être passionné pour se trimballer 4 kits à deux dans ce boyau ! 
On s'offre une pause au sec dans l'impossibilité de se lever (et ouais, trop petit à cet endroit...) et, tout en restant allongé sur les cailloux, on papote de l'état de la spéléo actuel... Ce coup de mou qu'on se prend... 1/2 heure plus tard, nous repartons !

La remontée nous aura bien chauffé et la bière à la voiture sera la bienvenue... à 20h30 ! A l'aise, on est sortis tôt !

Bilan : 
Photos : des clichés sympas mais à retravailler je pense...
Appels en absence : seulement 5 ! La famille ne s'inquiète même plus pour nous !

Florian

7 nov. 2015

EDS - Décrochage d'équipier

Présents : Pascal, Jean-Luc et Mathieu
Durée : 5h30 environ

Mise à jour le 8 novembre après revue par Pascal, et ajout de la documentation en post scriptum.

Ayant quasiment tout oublié depuis la dernière fois où j'étais venu avec Florian, il y a bien deux ans, j'ai ressenti le besoin d'un petit rafraichissement et j'ai donc répondu présent à la grande journée auto-secours organisée par Pascal aux carrières romaines de La Turbie.

Le samedi matin, la route est dégagée sur tout le parcours. J'arrive avec vingt bonnes minutes d'avance sur le rendez-vous de 9h30. Je m'attendais à ce qu'il y ait foule, mais le temps passe sans que personne n'arrive. Bizarre. J'observe un gros chien noir qui réussi à passer sous un grillage en rampant. La performance mérite le respect étant donnée la taille de la bête. Il y a de quoi rendre jaloux certains spéléologues dont je tairai le nom.

A 9h40 il y a aussi Jean-Luc qui arrive au rendez-vous en pensant être le dernier.  Mais il n'y a toujours pas de Pascal. Il fait son arrivée à 9h50 en nous expliquant qu'il était parti en direction de Caussols ! Et aujourd'hui, suite à des désistements, nous ne seront finalement que tous les trois. Il fait pourtant grand beau et une chaleur improbable au mois de Novembre.

Le programme de la journée commence avec le balancier espagnol sur grande longe. Comme mes souvenirs ne sont plus très frais, je laisse Jean-Luc commencer et je fais la victime. Puis nous intervertissons les rôles et je compte beaucoup sur lui pour me ré-expliquer tous les détails.

Le deuxième exercice est sur le passage de fractionnement avec une victime. Pascal a fait une photo pour illustrer la technique :


Pour ceux qui ont suivi, il y a une erreur fâcheuse sur cette photo. Si quelqu'un arrive à trouver laquelle d'ici la réunion de mercredi soir, je lui offre une bouteille d'Elixir de la Grande-Chartreuse. En tout cas, Jean-Luc saura trouver une solution très rapidement et nous sortir de cette mauvaise situation.

Arrivé en bas, j'ai l'occasion de ressentir en quoi le décrochage d'équipier est une situation d'urgence. J'ai eu la circulation du sang dans les jambes coupée un peu trop longtemps. Et je n'ai plus qu'à aller marcher un peu pour m'en remettre. Je remonte en faisant le tour de la carrière. Puis on en profite pour boire un coup.

C'est maintenant à mon tour de faire le passage de fractionnement et du coup on est maintenant à surveiller tous les deux :


Le troisième exercice est sur le passage de noeud. La technique consiste à fractionner avec une poignée trois mètres au-dessus du noeud. La question piège de l'examen est : "comment fait-on quand il n'y a pas assez de corde pour re-fractionner et arriver jusqu'en bas ?". Je vous laisse réfléchir.



En quatrième exercice, on verra la situation où l'équipier est descendu en butée dans la boucle de fractionnement. Il faut le remonter avec un balancier espagnol jusqu'à pouvoir le longer. L'arme ultime est la micro poulie avec bloqueur, mais on peut aussi le faire avec deux mousquetons et la poignée.

On terminera avec le passage de main courante en cinquième et dernier exercice. Cela se fait avec deux poignées et une pédale.

Cela clôturera le programme de la journée, qui a été bien rempli grâce au petit effectif qui tenait presque du cours particulier. On peut ranger et rentrer aux voitures. Pour moi, il faudra le refaire un peu plus souvent qu'une fois tous les deux ans pour ne pas oublier. C'est pourtant des techniques particulièrement importantes à maitriser. Un équipier inconscient sur une corde constitue un cas d'urgence vitale où l'on a que quelques minutes pour intervenir.

Mathieu

P.S. Merci à Pascal pour les photos !

P.S. 2 Voici la documentation fournie par Pascal:

1 nov. 2015

Entrainement aux Cascades de la Cagne

Présents : Léo, Daniel et Mathieu
Temps de présence sur site : 6h

Après avoir fait le Cresp (10m), puis le Lapin (25m), nous poursuivons la formation de Léo avec une séance sur le passage de fractionnement. Nous allons donc aujourd'hui en extérieur sur un site à couper le souffle et où nous avons malheureusement connu quelques échecs : Les Cascades de la Cagne.

De Cascades de la Cagne

Comme il fait grand beau, j'en ai profité pour prendre l'appareil photo et pour l'essentiel, je laisse travailler Daniel. Il faut vider tous les spits de leurs habitants et leurs appliquer un peu de dégrippant. J'ai juste à installer la corde sur une des deux voies et comme d'habitude j'ai droit à une corde qui a rétréci au lavage.

De Cascades de la Cagne
Encore une fois, je laisse travailler Daniel sur le front de l'enseignement.

De Cascades de la Cagne
Après la pose de midi, Daniel part équiper la deuxième cascade et j'accompagne Léo pour sa deuxième descente. Comme il est partant, on enchaine directement avec la deuxième cascade, qui cette fois n'est pas équipée en double.

On retrouve Daniel en bas qui est en train d'observer le départ de la grande main courante de la troisième cascade (ce sera pour une autre fois). L'objectif de la journée étant atteint, on peut donc remonter.

Mathieu

P.S. Voici le diaporama de la journée: