7 sept. 2014

Embut de Rouaine

Présents : Dada, Mathieu & François (GSV)
TPST : 6h30

Pour la sortie présidentielle/retraité de septembre, nous étions finalement trois à l’embut de Rouaine : Dada, Mathieu, et moi. Dada a équipé et déséquipé le trou, nous sommes entrés a 10 h et sortie à 16h30.
Le trou est toujours aussi étroit et sélectif, aux passages exigus ! Ne l’ayant plus fait depuis huit ans, je ne me souvenais plus de sa difficulté. Je me suis arrêté vers – 125 au bas du puits de 8 m, n’ayant pu franchir l’étroiture du sommet du puits suivant de 9m. Il semblerait que j’ai pris du poids depuis ma retraite ! Il faudra faire un peu plus de spéléo et manger un peu moins !!
Effectivement dans les puits, qui sont beaux du reste aucun problème, mais dans les étroitures, c’est une autre histoire ! Donc, comme je disais, Dada et Mathieu sont allés au fond - arrêt avant le boyau terminal - puis nous sommes ressortis, avec pour moi une grosse fatigue à la clef.
Mais après un bonne nuit de sommeil ça va mieux. 
 
François

6 sept. 2014

Escalade au Cataphot

Présents : Chris (ASBTP), Yo & Flo (GSV)
TPST : 5h

Suite à notre sortie au Cataphot début Août (CR ici), où Chris se questionnait sur l'escalade d'un puits du Réseau de l'Espérance, on décide de profiter de la douce fraicheur d'un samedi ensoleillé pour mettre en place l'opération : "Cliffhanger" ! Pour l'occasion, un vieux spéléo rouillé du GSV se joint à l'aventure (Yoann est seulement vieux par son manque de sortie, sinon il est jeune et en pleine forme).

On se retrouve à Pré du Lac pour 8h. RDV tôt pour attaquer... assez tôt quand même, on n'a pas trop traîné cette fois. Un petit café en terrasse et on décolle sur Saint Vallier. On arrive à proximité de la cavité après 9h, on se change et croisons de nombreux randonneurs. Je ne savais pas que le plateau était tant pratiqués le week end... et certains d'entre eux ne savaient pas qu'il y avait tant de cavités sur la commune. 
Entrée dans la cavité à 10h ; comme la fois précédente, j'équipe les trois premiers puits et laisse ensuite l'affaire à Chris. On en profite pour montrer le S+0 à Yoann ; la corde de 8,5mm a tendance à filer vite dans le descendeur, même avec un stop. Pour le grand puits, j'ai braqué la plus longue corde de Dada qui, de ses aveux, était l'une de ses fidèles servante au Bois de la Malle (une époque que je n'ai malheureusement pas connu ...). 85m de corde passent nickel et je vois Chris tout petit en bas du puits...

On se dirige vers le réseau de l'Espérance, préparons le matériel et Chris attaque l'escalade à 11h. Je reste en bas pour l'assurer durant son ascension pendant que Yoann fait le soutien logistique (lumière, ambiance, papotage). Chris a fait la grosse erreur de nous filer un talkie-walkie si on avait besoin de communiquer... mais quand on file cet outil à deux grands enfants, ils ne font que s'amuser ! 
Au bout d'une heure, Chris n'a plus de matos et doit redescendre pour enlever les plaquettes et les dégaines. Il a déjà fait une grosse moitié du parcours dans une roche relativement bonne. Avant de faire la pause déjeuner à midi, Yoann et moi allons voir l'arrêt de l'escalade et ainsi jeter un œil sur le haut du puits. 

Après un café chaud et un sandwich, Chris reprend l'escalade. Il arrive à la tête du puits et s'arrête sur une faille impénétrable d'un côté, et sur une étroiture avec un bloc instable de l'autre. Derrière le bloc, il a vu sur un puits remontant d'environ 2mx2m avec un léger courant d'air. Mais ce bloc va clairement compliquer la tâche... et pose un danger certain. Chris sécurise son ascension et redescend en déséquipant la voie, vers 14h. On estime la remontée à une trentaine de mètres environ.
Puis rangement du matos et on prend la direction de la surface. Chris s'étant bien dépensé à l'escalade, je déséquipe la cavité en me compliquant la tâche sur la vire. Je passe la tête dehors à 16h avec une bonne bouffée de chaleur.
Retour aux voitures où l'on se change, prenons un petit café et papotons spéléo (techniques, cavités, SSF, ...). On revoit les multiples utilisations de la dyneema et on prévoit de se faire une classique sous peu. Départ de Saint Vallier après 18h...


Florian

2 sept. 2014

Balade sur St Vallier

Présents : Chris (ASBTP) & Flo (GSV)
TPST : 4h

On se retrouve à 8h30 à Pré du Lac, avec Chris, pour aller prospecter du côté de St Vallier. Le premier objectif est d'essayer de repérer le terrain au dessus du St Jo - Cataphot, ou au niveau des escalades du St Jo. Mais sur place, c'est un ancien terrain cultivé : des restanques et encore des restanques... aucune chance de trouver une cavité ici...

On prend la direction des différentes classiques du secteur en coupant à travers bois et champs, les yeux et le pif grands ouverts ! On vérifie quelques dolines mais rien n'apparait ; on salue le St Jo puis on passe par la Coccinelle et le 129-X8 et tombons sur le 129-50... cavité non inventoriée ? Petite faille colmatée marquée d'un triangle et d'une croix, il faudrait déblayer la terre et les feuilles pour s'assurer qu'il n'y ait rien.
Pause déjeuner et petite bière à l'ombre. Avant de lever le camp, Chris s'aperçoit d'un petit départ derrière lui. Encore une fois, complètement colmaté et sans courant d'air. Il en sera de même pour les deux départs étroits suivants que nous verrons. Puis nous partons vers le Cataphot et vérifions deux autres ouvertures ; toujours pas de courant d'air... on se demande comment ont été trouvées les classiques du secteur. 
Retour à la voiture pour 14h où nous faisons un dernier détour pour que je montre l'aven du Petit Agneau à Chris. Le soleil cogne dur cet après-midi et l'envie de farniente nous gagne ! Les petits départs seront à vérifier mais c'est étroit et sans courant d'air... pas très encourageant.

Florian

29 août 2014

Riou de la Bollène

Présents : Paul (GSMagnan), Flo (GSV) + Roland
TPEC : 2h10

Je finis le mois d'Août par le riou de la Bollène, en compagnie de Paul et Roland, un ami de la famille ayant déjà pratiqué le canyoning... il y a 13 ans. RDV à St Isidore à 9h30 pour covoiturer où Paul rigole en rencontrant mon invité (référence au surnom du kit spéléo : Roland - culé) ; puis arrêt stratégique à la boulangerie des Trois Vallées où nous croisons un ami de Paul, membre du CAF de Cannes, qui nous valide que le canyon passe très bien en ce moment. 
On arrive au parking aval de la Bollène avant 11h ; il n'y a qu'une voiture en navette, on ne devrait pas croiser beaucoup de monde aujourd'hui. Des chaussures flinguées sont enroulées sur le câble électrique, ce canyon est-il abrasif ? On m'a pourtant prévenu qu'il glissait beaucoup...

Au parking amont, quatre voitures sont garées. Ce pourrait être un gros groupe de canyoneurs ou des randonneurs. En tout cas, ça cogne et on va vite se mettre à l'ombre pour la courte marche d'approche. Le riou a un débit correct et le niveau est assez élevé pour la saison, Paul s'attendait à y voir beaucoup moins d'eau. On se change, on mange une barre céréale et on enkite les cordes pour commencer à se glisser dans l'eau fraîche à 11h50.
On a vite confirmation des avertissements concernant l'adhérence... ça glisse sévère ! Attention aux appuis, ça serait bête de se faire une cheville maintenant... Les premiers obstacles se passent très bien en sautant, glissant ou en désescalade. On progresse à bonne allure et on arrive rapidement aux deux gros sauts/toboggans du parcours : une C13 et le fameux toboggan de 15m ayant fait la réputation du canyon. Sur la première, Paul et Roland sautent en assurant bien leurs appuis. Le sac de Roland n'a pas supporté le choc et s'est complètement déchiré... Pour ma part, je ne me sentais pas de faire ce saut avec la roche glissante ; toboggan à fond la caisse en écartant bien les bras sur la fin... il faut que je perde cette habitude.

Vient le grand toboggan où Paul souhaite nous faire utiliser la corde pour descendre jusqu'à une margelle pour sauter. Il y a déjà été témoin d'un accident et des hélicoptères y interviennent régulièrement pour évacuer un blessé. Autant ne pas prendre de risque et profiter de l'occasion pour revoir la mise en place d'une MC en canyon. On continue le parcours en croisant de temps à autre des détritus (tambour de machine à laver, moteur, pneu, ...) et une bouteille... tiens, c'est pas celle de Roland ? Ah oui, son sac s'est encore plus déchiré ! Adieu sac scolaire de ses enfants...
Le travail géologique est remarquable par endroit et l'eau claire, oscillant entre le vert et le turquoise, offre une très belle visibilité avec des jeux de lumière sympathique (la réverbération du soleil offre des scintillements dansant sur les parois). On arrive malheureusement à la dernière cascade très esthétique avec les rayons du soleil qui s'engouffrent juste dans l'ouverture. On finit le canyon vers 14h, en ayant croisé personne (c'est tellement rare). On se change, grignotons un peu et repartons. La marche retour est très agréable à l'ombre des arbres et ça papote boulot.
Vêtements secs, déjeuner et soleil au parking aval. On fait la navette et dur retour sur la Côte avec ce cagnard... 


Florian

27 août 2014

Suite des travaux secrets...

Présents : Alex, Paul, Perrine (GSMagnan) & Dada, Flo (GSV)
TPST : 4h

Comment dissimuler un cadavre
Suite à son annulation mercredi dernier (faute de maladie), Paul a rechargé ses batteries à fond et voulait en découdre avec cette nouvelle cavité. On décide donc d'y poursuivre les travaux, entamés la semaine dernière (cf CR : travaux & l'espagnol du Garagai). Perrine se joint également à la partie et son petit gabarit pourrait nous être avantageux. Plus l'expertise de Dada !

On se retrouve tous à 9h pour entamer l'heure de marche d'approche. Le vent de la nuit nous offre une superbe vue dégagée où l'on aperçoit la Corse. On prend un autre chemin que la dernière fois, histoire de mettre du piment à l'aventure (toujours en suivant le GPS, à travers monts et forêts). On perd presque une partie du groupe à force de passer n'importe où.
Sur place, on attaque rapidement les travaux vu qu'il faudra décoller vers 14h. Dada évalue la situation et on déblaie un peu avant d'entamer les tirs. Paul est bien content d'avoir invité Dada vu qu'il a pris la mauvaise batterie pour le perfo. Il est encore plus content quand il s'aperçoit que ses pailles ne fonctionnent pas... mauvaise qualité de marchandise ?

Pas facile de bosser à cinq autour d'une petite faille... Paul et Dada prenant le dessus (faibles que nous sommes... nous n'avons osé contesté leur supériorité numérique)
On fait plusieurs tirs et beaucoup de coups de massettes pour élargir le puits et le stabiliser. Petit casse-croûte à l'ombre, à tour de rôle. A 12h30, on envoie Perrine se préparer pour lui laisser le privilège de faire la première ! Ça n'arrive qu'un fois dans une vie ! Paul l'assure en surface pendant qu'elle désescalade. Arrivée dans une petite salle avec une suite peu évidente : une ouverture légèrement ventilée de la taille du poing. Le sol étant rempli de terre et de blocs que l'on a balancé. Alex va voir à son tour et nous remonte quelques clichés pour avoir une idée de la bête. Ça ne sera pas évident de continuer à y bosser : il faut sécuriser totalement le puits d'entrée, vider les gravats du fond pour ensuite attaquer une étroiture ne laissant pas apparaître de gros volume...

Mais pour l'heure, il faut y aller ! Paul a RDV et c'est infernal de creuser sous ce soleil ! Toute notre eau y est passée...

Et pour finir cet article avec joie et enthousiasme : c'est le 100ème CR du blog !!! Bonnes explos à toutes et à tous ! 

Florian

26 août 2014

Trois jeun's à La Turbie

Présents : Paul, Perrine (GSMagnan) & Flo (GSV)
TPST : 4h

Je m'incruste à une sortie entraînement avec Paul & Perrine aux carrières de La Turbie. Beau soleil, vue dégagée et manipulations sur corde au programme.
On se retrouve à 10h20 sur site pour entamer une petite journée (départ prévu pour 14h30 - 15h). On ne perd pas de temps et on file direct sur la paroi. Paul commence son cours par l'utilisation des AS ; j'apprends une autre manière d'équiper avec la dyneema que celle transmise par Chris D. Perrine et moi manipulons pendant que le grand manitou corrige les erreurs. Puis Perrine part équiper une voie (avec des petites fautes de sécu, dur de se remettre dans le bain !) ; je demande à Paul de me montrer comment se met en place une main courante rappelable en canyon (version simple et version "compliquée", si un point intermédiaire est difficile à atteindre).

Équipement d'une 2nde voie où j'ajoute une petite main courante complètement inutile mais très esthétique. Puis on se pose pour manger pendant que des nuages arrivent. On a bien profité du soleil pendant 1h30, maintenant, place au brouillard, vent et apocalypse...
On retourne sur corde où j'essaie d'appliquer le balancier espagnol. Paul me donne d'autres conseils que ceux d'Alex, mais pourtant bien efficaces, tout en ajoutant un spit parmi ses congénères. Cette fois, l'utilisation de la poulie est fortement appréciée ainsi que le poids de la victime (j'ai pris Perrine, pas Paul... pas folle la guêpe !). On montre la manip' à Perrine en étant sur terre où elle répète les actions guidées par Paul. Dernier cours de la journée avec le "faux-fractio" ou "comment bouffer de la sangle plutôt que le corde quand l'équipement est tout pourri". Puis on déséquipe et on file vers 14h30.



Florian

24 août 2014

Aven des Arabes

Présents : Dada, Bernard & François (GSV)
TPST : 3h20 

Rendez vous à 8 h 30 sur le parking des pompiers à Vence pour monter avec une seule voiture faire l’aven 68-S1 (dans le vallon qui monte de Gourdon à Caussols), et plus connu sous le nom d’ « Aven des arabes », en souvenir de mimiques linguistiques de certains anciens du club lors de sa désobstruction.
Archive 23-10-2013

Nous entrons Dada, Bernard et moi dans le trou à 10 h 30. Le trou à été laissé équipé par le S C Vallauris, qui nous l’a cédé si l’on veut y travailler, j’ai compris pourquoi après en être sorti !
Effectivement il n’est pas très large, quelques petits puits (dont le plus grand fait actuellement de 10 m) agrémentent la progression. Quelques laminoirs et passages bas ont dissuadé Bernard d’aller plus loin, mais en le poussant et en le motivant un peu, il a continué et ce, presque jusqu’au terminus ! Dada et moi voyons le fond qui est très étroit et guère encourageant.
Le fond se présente sous la forme d’un laminoir suivit d’un ressaut de quelques mètres, mais on ne voit pas la suite. Celle-ci se situant dans un coude vertical, ou aucun mouvement de tête n’est possible ! Il est évident qu’il faudra au préalable élargir certains passages supérieurs  avant d’attaquer le fond proprement dit.
On a senti un très léger courant d’air, mais l’intérêt  de ce trou réside dans sa position ! Celui se situe exactement au milieu de deux grandes cavités : en amont du Cappuccino et en aval du Fourchu. On peut toujours rêver, ce n’est pas interdit !!
Nous sortons de la cavité à 13 h 50, sous le soleil. Il faisait meilleur dans le trou !

Aux amateurs de désobstructions, bon courage! Mais courir dans des galeries ne se donne pas aussi aisément qu’on ne le pense, seul l’acharnement dans le travail de la désobstruction paie à la fin !! 

François

Les poissons du Riou de Pierrefeu

Présents : Alex, Paul (GSMagnan), Flo (GSV) + Mary-Annick, Ondine, Damien, Assem, Dhann, Adam, Denis, Magalie
TPEC : 4h30

On se fait une sortie pour initiés/débutants en canyon, en allant du côté de Pierrefeu (après avoir changé d'avis... 2 fois). On retrouve tout le monde pour 8h45 à St Isidore où l'on essuie trois désistements matinaux. Paul est encore fracassé de sa semaine de maladie... mais l'enthousiasme du groupe aura-t-il raison de sa blanche mine ? On se répartie dans les voitures et prenons la route.

On se fait un arrêt à la boulangerie des Trois Vallées pour la bouffe et un café/p'tit déj. Puis direction Pierrefeu sous un temps mitigé : pas de pluie prévue mais pas de grand soleil non plus. On retrouve Guillaume sur place, guide pro qui nous loue le matos pour la journée. On papote, on se prépare doucement, on fait la navette et on re-papote. On le sait déjà, aujourd'hui, l'efficacité ne sera pas au rendez-vous ! La marche d'approche se fait rapidement et on arrive les pieds dans le riou vers 11h30. On s'habille, réglons les baudriers et vient l'heure de faire trempette ! Le groupe de Guillaume nous a déjà rattrapés alors que l'on n'est pas encore mouillé, malgré l'heure d'avance qu'il nous avait laissée... (efficacité !). Ceux-ci cassent la croûte pendant que l'on attaque la descente, pour nous laisser une marge.


L'eau est assez trouble et le débit, faible, est moins important qu'en juin. Les algues ont également bien grandi et il faudra surveiller ses appuis. La progression est à l'image de la préparation de la matinée : tranquille et posée. La première cascade de 25m permet à tous les débutants d'apprendre la descente sur 8, Paul étant à l’équipement et à l'assurance. Tout le monde s'en sort, plus ou moins à l'aise, mais ça nous met déjà un bon coup de frein...
On poursuit avec des petits obstacles (sauts, toboggans et rappels) où certains s'illustrent par leur grâce (Mag' fait l'otarie dans un petit toboggan par exemple). On rattrape un groupe avec guide et on décide de profiter du soleil pour manger à notre tour, vers 13h30. Le groupe de Guillaume nous double par la même occasion. On prend un bon bain de soleil pour laisser de l'avance aux deux groupes devant nous tandis que Dhann donne à manger à de petits poissons présents dans la vasque.

On ré-attaque avant 14h mais on rattrape malheureusement le grand groupe de touristes en 15 minutes... On reste en attente dans la partie encaissée du canyon, trempée, avec un petit vent qui s'engouffre entre les parois et dans les combis. Nouveau programme : combat de boxe pour se réchauffer (Mag' VS moi, je vous laisse deviner le vainqueur), ou danse pour les moins courageux. A la sortie de l'encaissement, je "sonde" un saut... un saut qu'il ne faut pas sauter évidement ! Le fusible a bien failli y laisser sa cheville...
Suite des sauts et toboggans avec une allure de croisière. Ondine tente de plonger un petit siphon et sa réussite est...  mitigée. On la voit partir à la verticale pour plonger sous le bloc, et ressortir exactement au même endroit 10 secondes plus tard ! Quelle classe !

On arrive à l'Estéron vers 16h30 où on se laisse porter par le courant sur plusieurs dizaines de mètres. La flottaison est bonne et le farniente trop tentant... On se déséquipe en bordure de la rivière et on tente une comparaison des muscles de Paul et de Damien : le bras de Paul est en effet plus gros que la cuisse du second ! Damien, remets toi vite au sport !!!
Marche de retour assez rapide et changements vestimentaires avant de faire la navette. Il est déjà 17h bien passé... on a vraiment été long... même avec la moitié de débutants, dont un enfant de 10 ans (autonome sur corde maintenant !) et un adulte ne sachant pas nagé, on aurait du mettre 1h de moins. Retour sur Nice avec une bière pour les uns, retour sur Cannes pour les autres.

Florian