Aven du Petit Agneau

Participants : Bernard, Daniel, Jérôme

TPST : 2h

Tout le monde s’étant plus ou moins débiné pour cette sortie dominicale, le Président propose donc aux deux clampins restant et disponibles une visite “light” ne nécessitant pas de se trimballer à trois des kits de cordes biens remplis : ce sera l’aven du Petit Agneau. La cavité découverte et explorée par A. Gomez offre 50 mètres de descente au travers de trois puits superbement concrétionnés ce qui sera parfait pour notre trio. Rendez-vous est donné à 9h45 à Saint-Vallier.

Le Président Dada s’engouffre dans l’orifice à 10h30, suivi de Bernard puis de votre serviteur. Le puits d’entrée (25 m) se caractérise par un accès étroit mais tout à fait praticable qui nécessite quelques contorsions, surtout à la remontée. Bernard s’en émeut dès l’entrée, ce qui a pour effet de lui déclencher une poussée d’hémorroïdes à titre préventif. La descente s’effectue en flânant car la décoration des puits est réellement magnifique : méduses, draperies, minarets, tapis d’aragonites, n’en jetez plus... Le Président, pragmatique, fait remarquer qu’il n’est pas plus mal que cet aven à l’accès rébarbatif reste à l’écart des hordes de spéléos départementaux, donc parfaitement préservé.

Le temps que j’atteigne la base du troisième puits, Dada s’enfile dans la dernière partie du trou, plutôt glaiseuse, à la fois pour le plaisir de se salir et surtout pour se conforter dans l’idée que jamais il n’ira gratter au fond de ce boyau infâme et impénétrable. La remontée s’effectue sans encombres au rythme de l’ami Bernard qui passe la tête dehors vers midi et quart, le Président finissant de déséquiper à 12h30. Finalement notre vénérable doyen aura franchi haut la main la fameuse tête de puits de sortie, avec juste ce qu’il faut de ahanements et de déhanchements (c’est qu’il est resté souple pour son âge...). 

Vers 13h, une fois changés, nous pique-niquons sous un soleil voilé avec vin et café. Bernard nous propose aimablement de délicieux kiwis de son jardin, ce qui fera dire au Président, d’humeur badine : “Bernard, tes kiwis sont à peine moins fripés que tes roubignolles...”. Il aura ainsi le mot de la fin, la troupe levant le camp aux alentours de 14h.

Jérôme

Désobstruction Mars 2017 (15 Sorties)

Vence (11 sorties) :

•   Trois Mille Pattes (Baou des Blancs, 1 sortie): Dada. Réseau de la Grande Coulée, toujours et encore…

•   R1 - Cocon (Baou des Blancs, 1 sortie): Dada, Frédéric, Christophe. Désob/Calibrage 1/dans le boyau de terre (Dada au fond du boyau, Fred au milieu pour tirer la terre et les blocs et Christophe dans la petite salle pour tout sortir et ranger); 2/dans le "nouveau réseau" (celui trouvée fin 2016): a/sablage de la partie descendante et boueuse de la galerie pour éviter d'aller salir la jolie  et toujours propre partie finale de cette même galerie (pour aller ouvrir l'étroiture derrière la jolie colonnette qui donne sur un petit vide; c'est galère car il faut aller remplir les bidons de sable dolomitique au dessus de la salle et redescendre avec pour saupoudrer la boue au sol); b/plusieurs tirs dans le passage vertical dans la 1ere salle du nouveau réseau; c'est étroit mais ça donne visiblement dans une partie du réseau qu'on ne connait pas (essais à la voix: Dada étant descendu dans le réseau inférieur, Fred est resté dans la nouvelle salle alors que j'étais au fond du passage vertical 3m plus bas: on entendait avec peine Dada, à plusieurs mètres et décalé); un courant d'air conséquent sort de ce passage; encore du boulot mais la place ne manque pas pour mettre le déblai et surtout, ce courant d'air…; 3/dans la cheminée au-dessus de la 2e salle, plusieurs tirs; c'est instable mais ça continue.

•   Aven du Petit Nicolas (Mangia Pan, 1 sortie): Dada et Christophe. Désob sur les niveaux 1 et 3. 1/Localisation en surface de la fin du laminoir remontant. On se contentera d'une jonction physique (serrage de paluches) le prochain coup car beaucoup de boulot en perspective si on veut ouvrir entièrement le passage. 2/ouverture de l'étroiture en haut de la cheminée; 2m de 1ère; vue sur suite étroite d'environ 1,5m. On n'ira pas creuser par là, trop galère. Terminé de ce côté là. Prochaine étape, la topographie des nouvelles parties.

•   La Foux (rive droite de la Lubiane, 8 sorties), Dada. Pointage GPS des nouvelles cavités trouvées par Dada lors de séances de prospection précédentes: Z8 (grotte de la calcite), A9 (grotte du chêne vert, prometteuse), B9 (grotte du petit pin), grotte du rocher percé, grotte de l'ancien chemin, grotte de l'abri et grotte au bout du roncier (ces dernières grottes n'ont pas encore de numéro).

Roquefort (Dada, 3 sorties) :

•   Embut du Debram (105 F1) : toujours le même et on continue! Comme prévu le mois dernier, les efforts de notre tunnelier régional ont enfin payé. Le boyau est à 99% terminé: il donne sur le méandre qui donne sur la vasque de sortie, celle dans laquelle on mouilla notre nez il y a plusieurs mois de cela lorsque nous venions par la Grande Salle, en étant passé par la fameuse voute mouillante. Encore qq tirs à faire et le passage sera ouvert. Dada a remarqué plusieurs arrivées d'eau du plafond.

Saint Cézaire/Mons (Dada, Rémy, Gérard et Pierre, 1 sortie) :

•   Sur un appel aux bonnes volontés émis par Rémy pour retrouver une cavité vue il y a xx années par ce dernier,  plusieurs amis se sont pointés -à l'étranger- dans le Var. Ils ont passé un petit moment à chercher une cavité qu'ils ne trouvèrent jamais (David Vincent n'est pas loin): dommage car c'était prometteur, dixit Rémy (une future grotte de Pâques à ce qu'il parait). On dira que c'est la faute à l'évolution des paysages et aux incendies qui ont défiguré la campagne… Néanmoins, Dada a pu pénétrer une grotte que Pierre avait ouverte qq temps auparavant et qui a l'air prometteuse. Suite au prochain épisode.

Pour les taupes du club,

Christophe

Aven Zorro

Participants :  Jérôme, Bernard, Mathieu, Daniel et François

TPST : 5h

Rendez vous sur place à 9h45, j’attends 10 minutes en prospectant, mais n'ai rien trouvé ! Finalement tout le monde arrive de façon étalée : Jérôme, Bernard, Mathieu, et Dada.
 

Mathieu descend le premier et équipe la cavité, il est alors 10h35, suivi de Dada et toute la clique, François fermant la marche. Nous nous arrêtons au palier de -90m pour casser la croute, arrosé d’un bon cidre, le rouge faisant défaut ! Les gars deviendraient-ils plus sobres, ou bien ont-ils été inspirés par le carême qui commence mercredi 1er mars ?
 

Suite à ce sobre repas, Bernard très choqué par la remontée de Dada au Cappuccino, entame la remontée à son rythme comme il dit !
 

Suivant Mathieu qui équipe le dernier puits de 17m, les autres descendent ensuite jusqu’aux parties profondes et très boueuses du Zorro. Arrêt de Jérôme et François à -115m, les parties boueuses ne les inspirant pas, ils entament la remontée.
 

Mathieu et Dada s’arrêtent quelques mètres après le p.13m boueux et remontent aussi, Mathieu déséquipant la cavité.
 

Tout le monde sort de façon étalée entre 14h pour Bernard et 15h40 pour Mathieu. 

François.

Désobstruction Février 2017 (12 Sorties)

Vence (10 sorties) :

•   Trois Mille Pattes (Baou des Blancs, 1 sortie): Dada. Réseau de la Grande Coulée: jonction avec le point 13.9 du réseau du Haut.

•   R1-Cocon (Baou des Blancs, 1 sortie): Dada, Frédéric. Désob/Calibrage dans le Réseau 'au dessus' de la Colonne Chantante (celle qui chante quand on la plante), dans le boyau de terre, dans la nouvelle galerie qui a été trouvée fin 2016 et dans la cheminée au-dessus de la 2e salle.

•   Aven du Petit Nicolas (Mangia Pan, 2 sorties): Dada et Fred. Désob sur les 3 niveaux de cette cavité. Suites à suivre au 1er (laminoir) et 3e niveaux (cheminée).

•   Plan des Noves (1 sortie, Dada): Topo de la 157Y8 et découverte d'une nouvelle cavité orientée sur une faille.

•   La Foux (rive droite de la Lubiane, 5 sorties), Dada. Topo de la X8 et de la Z8. Prospection et découverte de 6 nouvelles cavités (qui seront pointées et ouvertes en mars).

Roquefort (Dada, 2 sorties) :

•   Embut du Debram (105 F1) : on prend le même et on continue! Il continue le calibrage du boyau à -15m et l'ouverture du shunt à -50m. Ca devrait pas tarder à donner quelque chose.

 Christophe

Concours international Frédéric Laboussole d'orientation souterraine

Participants : Ondine, Franck, Jérôme, Bernard, Daniel et Mathieu

TPST : environ 4h

En ce dimanche 29 Janvier 2017, le GSV organise le grand concours international Frédéric Laboussole d'orientation souterraine, ainsi nommé en l'honneur du fondateur de la discipline. Cette année, les finalistes sont :

1) Ondine, qui nous vient de Cannes et qui se présente dans la catégorie greluche.

2) Franck, qui représente fièrement la ville de Vence et qui se présente dans la catégorie jeune prodige.

3) Jérôme, le sage de La Colle qui vise le record du monde dans la catégorie alcoolisme.

4) Bernard, le vénérable de Cagnes, qui va jouer dans la catégorie musique sur instruments anciens.

Le jury est présidé par Daniel et le concours est présenté par Mathieu.

Afin d'écarter définitivement tout risque de fraude, les épreuves se déroulent dans une cavité bien-sûr non-topographiée, cachée au milieu de la végétation et dont l'entrée est dissimulée par une trappe recouverte d'un tas de feuilles.

Le président du jury emmène toute la troupe jusqu'au lieu tenu secret. Et comme il est d'humeur farceuse, il se dit qu'il va les faire marcher sur la trappe et que personne ne va se rendre compte de rien.

C'était sans compter sur le niveau particulièrement relevé des candidats cette année. A peine le pied posé sur la trappe, Monsieur Jérôme se rend compte du subterfuge et part explorer le trou avec la trappe mais sans son kit.

Le président proteste vigoureusement à la violation du règlement. Jérôme ressort en abandonnant la trappe qui s'est sentie mal. Nous sommes obligés d'organiser un secours, mais malheureusement nous ne remonterons que des morceaux. Paix à son âme.

Après ce fâcheux contre-temps, nous lançons enfin le début de la compétition. Le défit à relever est à la hauteur de la réputation du concours : il faut suivre la corde sans se poser de questions, c'est le président qui le dit. Le premier candidat à s'élancer est Jérôme, décidément très en forme. Il doit se dire qu'en l'absence de François et Rémy et de leur imbattable duo de pipelettes, il a cette année toutes ses chances.

La suite du peloton avance groupée. Il y a d'abord le Président, puis Franck, moi-même, Ondine et Bernard. Assez rapidement, Franck se dit que pour gagner il ne faut pas lâcher le Président. Il fera du chemin ce petit ! Je les laisse donc partir et j'attends Ondine qui attend Bernard.

En accord avec son habitude, le Président a délaissé la corde qui descend au réseau de -80m pour lui préférer un méandre qui part vers le réseau de -130m. J'attends mes deux retardataires qui ont maintenant perdu toute chance de gagner, pour éviter qu'ils ne suivent la corde.

On finit par retrouver Franck qui veut nous faire voir comment il passe un fractionnement plein vide dans un P25. Nous continuons tranquillement la descente des puits. En haut du dernier puits avant le repas, j'entends plus haut que Bernard veut abandonner. Je me dit que c'est une excellente occasion de remonter la corde du bas et d'ouvrir une bouteille de Champagne avec une greluche.

Malheureusement, je me suis encore réjoui trop vite. En-bas, c'est la panique. Le Président n'a pas trouvé Jérôme à l'endroit prévu. Il continue donc la descente pour partir à sa recherche. Il est vrai que c'est un garçon qui aime bien aller au font des choses. Cela dit, assez rapidement il se rend compte que personne ne répond en bas et qu'il faut donc le considérer comme définitivement perdu.

Après des discutions houleuses pour savoir où il faut manger, nous remontons tous les trois retrouver la greluche que j'ai laissée en plan. Même si pour aujourd'hui j'ai perdu une occasion d'ouvrir une bouteille de Champagne, nous mangerons quand-même avec elle, courtoisie oblige !

Le repas sera vite expédié. Daniel prend une envie pressante et il doit remonter de toute urgence (c'est l'effet Jérôme). Je termine quand-même de manger, puis j'attaque la remontée, suivi de Franck et d'Ondine.

Comme prévu, nous retrouvons Bernard et Jérôme à la sortie, et Daniel est parti creuser un trou comme les chats.

Nous passons directement à la remise du grand prix du jury du concours international Frédéric Laboussole d'orientation souterraine. A l'unanimité du seul membre qui reste (le Président ayant disparu), le jury décide de décerner le grand prix 2017 au seul candidat qui a été capable de suivre la corde sans se poser de questions comme indiqué par le Président alors que tous les autres se sont perdus, j'ai nommé : M. Jérôme !!!

Chacun félicite chaleureusement le vainqueur, puis nous remontons aux voitures. Nous terminons la journée par un gâteau des rois amené par Ondine. Et moi, je ramène à la maison une bouteille de Champagne intacte qui devra attendre la prochaine sortie greluche.

Mathieu

Traversée grotte 157-R1 – grotte du cocon

Participants : Andréa, Estelle, Stevens, Yannick, Elvis, Franck, Christian, Daniel, François, Mathieu, Jérôme
TPST : 3h45

Affluence record et température glaciale en ce dimanche 15 janvier pour inaugurer la traversée désormais possible entre la grotte 157-R1 et la grotte du cocon. Ces deux cavités, trouvailles récentes du GSV, ont été jonctionnées par le président Dada et ses sbires Fred et Christophe à l’été 2016. Moult travaux de calibrage ont permis de rendre le réseau praticable au péquin moyen et il n’en manque pas (de péquins moyens) au sein de la fine équipe qui va s’engouffrer dans le R1 pour ressortir par le cocon. On notera la présence des novices Stevens et Yannick ainsi que le grand retour de l’ami Elvis. Pour respecter la parité généralement constatée en spéléo, Estelle et Andréa tiendront le rôle des greluches de service.

Il caille donc vigoureusement lorsque nous attaquons vers 10h15 la grimpette au Baou sous un ciel limpide. 

Le froid ambiant incite les troupes à s’équiper rapidement et à 11h15 le premier explorateur s’introduit dans l’étroite chatière qui marque l’accès au 157-R1.

Ce trou, qui tient plus du terrier de blaireau que du tunnel de métro, se caractérise par des plafonds bas et un sol poussiéreux qui obligent à ramper ou quatrepatter sur plusieurs dizaines de mètres.

Cela fait naturellement couiner les filles qui ont mal aux genoux, tiquer l’impassible Stevens qui attend avec impatience le déjeuner sous terre, et grogner l’ours Yannick qui, comme son surnom l’indique, nous vient des Pyrénées (quoiqu’un ours qui grogne dans une tanière, ça ne choque plus personne...).

Nous passerons sous silence les facéties scatologiques et les nombreuses insanités proférées par l’ami Cricri et son compère Elvis.

Le Président Dada emmène une équipe réduite de la télévision vençoise filmer le dernier secteur découvert par le GSV dans la grotte du Cocon. Cette bonbonnière richement ornée de fistuleuses où il faut se mouvoir avec précaution nous dévoile surtout une splendide colonne de 2 m de haut pour un diamètre de 30 mm qui ne demande qu’à être brisée par des spéléologues maladroits ou inconséquents.

A midi tapantes (mieux réglé qu’une montre suisse, un ventre de spéléologue du GSV...) le onze Vençois se retrouve dans la Salle des Escargots pour déjeuner. Mathieu, qui s’est improvisé chaperon, a déjà généreusement servi l’apéritif à ses deux protégées.

Parmi les victimes colatérales des agapes on déplore deux galettes des rois et six cadavres de bouteilles.

Il faut noter qu’aucune fève n’a été tirée ce qui laisse à penser qu’au plus quatre radins en ont avalé une pour ne pas avoir à payer la prochaine galette (et qu'un en a avalé au plus quatre, la vérité se situant entre les deux cas extrêmes). Le repas s’achève par un petit genepy artisanal de derrière les fagots amené par le camarade Stevens.

Repu et particulièrement gai, le groupe s’ébranle vers la sortie. L’ami Franck, qui s’est pris d’une passion subite pour la fameuse “carotte poilue” (une stalactite orange hérissée de petites excroissances blanches découverte par le Président) nous fait une petite présentation devant une stalagmite velue. Nous ne le détrompons pas car personne n’est en état de retrouver l’emplacement de la vraie “carotte” poilue.

A 15h00, le dernier blaireau s’est extrait de la grotte du cocon par un passage aussi étroit que celui du 157-R1.

Le ciel est toujours bleu, la température est un peu remontée et les conditions sont réunies pour une dernière tournée de cidre afin d’accompagner la dégustation du panettone gardé en réserve par le toujours prévoyant Franck.

Vers 16h00, il n’y a définitivement plus aucune excuse pour ne pas redescendre. Un premier groupe atteint les voitures vers 16h30 et il faudra patienter presque une demie-heure pour voir arriver le second groupe qui a dû aider l’ours Yannick à retrouver son smartphone égaré lors d’une grimpette acrobatique à la sortie du cocon (ah, ces touristes...).
 
En me pesant le soir, je me suis aperçu que j’avais pris 1 kg malgré 1h20 de randonnée bien raide et 3h45 de reptations souterraines diverses et variées. Quel est le sombre crétin qui a dit que l’exercice faisait maigrir ?

Jérôme

Bonnes résolutions 2017

Participants : Christophe, Daniel, Jérôme, Mathieu
TPSP (Temps Passé à la Salle des Pompiers) : 1h30

La première réunion bi-mensuelle de l’année a rassemblé la fine fleur encore valide du GSV, les autres membres plus ou moins actifs s’étant fait excuser pour cause de grippe, de fatigue, de vieillesse ou de crise d’hémorroïdes.

A l’ordre du jour, la préparation d’une sortie d’initiation le 15 janvier avec au menu l’une des très rares nouvelles traversées entre deux cavités (une découverte du GSV bien sûr) et la décision du Secrétaire Général de l’Enlisé, Mathieu, d’instaurer une double règle qui devra être respectée en 2017 : « on ne tire plus, on ne boit plus ! ».

Pour marquer le coup, Mathieu avait effectivement apporté une galette des rois sans fève (« on ne tire plus ») et nous a généreusement servi une tournée d’eau du robinet (« on ne boit plus (d’alcool) »). Inutile de dire que cette décision a provoqué l’enthousiasme général des participants ainsi qu’en témoigne la photo et qu’un vent de fronde s’est rapidement levé.

Le Président Dada nous a confié, à l’abri des oreilles de son Secrétaire Général qu’il ne voulait pas froisser, son souhait de déposer un recours auprès de la Sous-commission des Pratiques Festives et Conviviales de la Fédération Française de Spéléologie pour faire abroger le félon décret.

Affaire (très sérieuse) à suivre...

Jérôme