8 nov. 2015

Photographies à l'aven Saint Joseph

TPST : 10h30
Présents : Chris (ASBTP) & Florian (CSTroglos)

Je profite d'un long week-end sur mes terres natales pour aller faire une sortie photo avec Chris, à l'aven du Saint Joseph (Saint Vallier de Thiey). Fort heureusement, la météo a été clémente sur la semaine ! Le boyau passera ! C'est sûr !

Dimanche matin, je retrouve Chris à Pré du Lac pour prendre un café et covoiturer pour aller sur le plateau de St Vallier. Sur place, un beau soleil nous accueille même s'il ne fait pas super méga chaud (ah ouais, on est en novembre...). On se prépare doucement en se projetant les différents spots photos : le grand puits de 70m, la galerie du Rat, la rivière, la galerie fossile...
On a nos appareils photos, nos flashs, nos déclencheurs, nos piles, notre matos de progression ... On a rien oublié ? Génial !!! 

Chris s'engagera en premier sous terre à 10h et équipera le puits de 25m faisant suite au ressaut. Jusqu'à là, c'est partie de plaisir ! Puis, petit à petit, je redécouvre la cavité...
"P*****, mais y avait ça ici ?"
C'est fou comme la mémoire conserve ce qu'elle veut : les belles galeries du fond, le grand puits... mais rien de rien sur ces étroitures !!!

Bref, on avance doucement en se faisant passer les kits dès que possible, surtout dans le boyau où les coudes serrés nous forcent à se contorsionner (vous inquiétez pas, ça vaut vraiment le coup comme cavité).
On arrive tout de même à la tête du P70 avec quelques sueurs et avec le corps bien mouillé (et oui, le boyau mouille...). "Y a pas à dire, la spéléo, c'est une belle passion !" (ça sera notre phrase de la journée).
Chris équipera le puits en me gratifiant d'un magnifique monologue : "Et si on mettait un mousqueton ici ? - Ah oui bonne idée Chris ! - Merci Chris ! - Et ce nœud, t'en penses quoi ? - Nickel, beau travail ! - Merci - De rien" (ça a duré quelques minutes quand même... je tiens à préciser qu'il est sain d'esprit... enfin je crois...).

Chris descendra en tête pour positionner son appareil et trépied en bas du puits. Une fois prêt, j'attaque la descente en la ponctuant d'arrêts avec les flashs en main. Chris en a fait un montage en assemblant les images mais le résultat n'est pas exactement ce que l'on escomptait...
 
En même temps, c'est notre premier essai avec ce type de photo. Mais le puits parait tellement plus petit que les 70m réel... N'empêche, j'ai moins serré les fesses que la première fois que je l'ai descendu !

On ira ensuite se mettre au sec dans le fossile et ça sera changement de combi : bye la Luire, hello la néo' !
Ô belle rivière du St Jo ! Que ton eau est claire !

On filera jusqu'à la voute mouillante 2 pour ensuite faire les photos sur le retour. Quelques clichés dans la rivière (dont certains dont je ne suis pas satisfait... pas évident de jouer avec les reflets des flashs sur l'eau et le snoot de Chris crâme les photos ! Satané matos coréen ou chinois !).
On avance petit à petit en alternant les spots et en arrivant au croisement de la galerie du Rat, on va s'engouffrer dans ce ramping boueux... Je me souvenais que j'avais bloqué avec le baudard à l'époque ; mais je suis tellement svelte maintenant (interdiction de se moquer) que ça passe tout seul !

Derrière, c'est comme dans les souvenirs : grand et sale... Mais ça vaut le coup de se pourrir pour cette galerie !
Rebelotte pour les photos : chacun son tour, chacun son spot !
Et après avoir pris 10 kgs grâce à la boue, on peut repartir ! Difficilement...

Petite pause dans la rivière pour s'enquiller une part de pizza et un sandwich !
Photos photos et on retourne au fossile ! (on dirait que c'est rapide mais il était 17h quand on a retrouvé nos combis "sèches"). On fait encore quelques clichés et mangeons un plat lyophilisé chaud ! (et oui, chaud, c'est meilleur).

La remontée du P70 se fera assez bien : on emprunte l'équipement en fixe fractionné. Y a des passages étroits de ce côté mais au moins ça fluidifie la montée. On déséquipe et arrive le moment rêvé du boyau... dans le sens inverse...
La phrase du jour nous revient... "La spéléo, c'est une belle passion !"... P***** faut vraiment être passionné pour se trimballer 4 kits à deux dans ce boyau ! 
On s'offre une pause au sec dans l'impossibilité de se lever (et ouais, trop petit à cet endroit...) et, tout en restant allongé sur les cailloux, on papote de l'état de la spéléo actuel... Ce coup de mou qu'on se prend... 1/2 heure plus tard, nous repartons !

La remontée nous aura bien chauffé et la bière à la voiture sera la bienvenue... à 20h30 ! A l'aise, on est sortis tôt !

Bilan : 
Photos : des clichés sympas mais à retravailler je pense...
Appels en absence : seulement 5 ! La famille ne s'inquiète même plus pour nous !

Florian

7 nov. 2015

EDS - Décrochage d'équipier

Présents : Pascal, Jean-Luc et Mathieu
Durée : 5h30 environ

Mise à jour le 8 novembre après revue par Pascal, et ajout de la documentation en post scriptum.

Ayant quasiment tout oublié depuis la dernière fois où j'étais venu avec Florian, il y a bien deux ans, j'ai ressenti le besoin d'un petit rafraichissement et j'ai donc répondu présent à la grande journée auto-secours organisée par Pascal aux carrières romaines de La Turbie.

Le samedi matin, la route est dégagée sur tout le parcours. J'arrive avec vingt bonnes minutes d'avance sur le rendez-vous de 9h30. Je m'attendais à ce qu'il y ait foule, mais le temps passe sans que personne n'arrive. Bizarre. J'observe un gros chien noir qui réussi à passer sous un grillage en rampant. La performance mérite le respect étant donnée la taille de la bête. Il y a de quoi rendre jaloux certains spéléologues dont je tairai le nom.

A 9h40 il y a aussi Jean-Luc qui arrive au rendez-vous en pensant être le dernier.  Mais il n'y a toujours pas de Pascal. Il fait son arrivée à 9h50 en nous expliquant qu'il était parti en direction de Caussols ! Et aujourd'hui, suite à des désistements, nous ne seront finalement que tous les trois. Il fait pourtant grand beau et une chaleur improbable au mois de Novembre.

Le programme de la journée commence avec le balancier espagnol sur grande longe. Comme mes souvenirs ne sont plus très frais, je laisse Jean-Luc commencer et je fais la victime. Puis nous intervertissons les rôles et je compte beaucoup sur lui pour me ré-expliquer tous les détails.

Le deuxième exercice est sur le passage de fractionnement avec une victime. Pascal a fait une photo pour illustrer la technique :


Pour ceux qui ont suivi, il y a une erreur fâcheuse sur cette photo. Si quelqu'un arrive à trouver laquelle d'ici la réunion de mercredi soir, je lui offre une bouteille d'Elixir de la Grande-Chartreuse. En tout cas, Jean-Luc saura trouver une solution très rapidement et nous sortir de cette mauvaise situation.

Arrivé en bas, j'ai l'occasion de ressentir en quoi le décrochage d'équipier est une situation d'urgence. J'ai eu la circulation du sang dans les jambes coupée un peu trop longtemps. Et je n'ai plus qu'à aller marcher un peu pour m'en remettre. Je remonte en faisant le tour de la carrière. Puis on en profite pour boire un coup.

C'est maintenant à mon tour de faire le passage de fractionnement et du coup on est maintenant à surveiller tous les deux :


Le troisième exercice est sur le passage de noeud. La technique consiste à fractionner avec une poignée trois mètres au-dessus du noeud. La question piège de l'examen est : "comment fait-on quand il n'y a pas assez de corde pour re-fractionner et arriver jusqu'en bas ?". Je vous laisse réfléchir.



En quatrième exercice, on verra la situation où l'équipier est descendu en butée dans la boucle de fractionnement. Il faut le remonter avec un balancier espagnol jusqu'à pouvoir le longer. L'arme ultime est la micro poulie avec bloqueur, mais on peut aussi le faire avec deux mousquetons et la poignée.

On terminera avec le passage de main courante en cinquième et dernier exercice. Cela se fait avec deux poignées et une pédale.

Cela clôturera le programme de la journée, qui a été bien rempli grâce au petit effectif qui tenait presque du cours particulier. On peut ranger et rentrer aux voitures. Pour moi, il faudra le refaire un peu plus souvent qu'une fois tous les deux ans pour ne pas oublier. C'est pourtant des techniques particulièrement importantes à maitriser. Un équipier inconscient sur une corde constitue un cas d'urgence vitale où l'on a que quelques minutes pour intervenir.

Mathieu

P.S. Merci à Pascal pour les photos !

P.S. 2 Voici la documentation fournie par Pascal:

1 nov. 2015

Entrainement aux Cascades de la Cagne

Présents : Léo, Daniel et Mathieu
Temps de présence sur site : 6h

Après avoir fait le Cresp (10m), puis le Lapin (25m), nous poursuivons la formation de Léo avec une séance sur le passage de fractionnement. Nous allons donc aujourd'hui en extérieur sur un site à couper le souffle et où nous avons malheureusement connu quelques échecs : Les Cascades de la Cagne.

De Cascades de la Cagne

Comme il fait grand beau, j'en ai profité pour prendre l'appareil photo et pour l'essentiel, je laisse travailler Daniel. Il faut vider tous les spits de leurs habitants et leurs appliquer un peu de dégrippant. J'ai juste à installer la corde sur une des deux voies et comme d'habitude j'ai droit à une corde qui a rétréci au lavage.

De Cascades de la Cagne
Encore une fois, je laisse travailler Daniel sur le front de l'enseignement.

De Cascades de la Cagne
Après la pose de midi, Daniel part équiper la deuxième cascade et j'accompagne Léo pour sa deuxième descente. Comme il est partant, on enchaine directement avec la deuxième cascade, qui cette fois n'est pas équipée en double.

On retrouve Daniel en bas qui est en train d'observer le départ de la grande main courante de la troisième cascade (ce sera pour une autre fois). L'objectif de la journée étant atteint, on peut donc remonter.

Mathieu

P.S. Voici le diaporama de la journée:

25 oct. 2015

Aven du Lapin et Aven Alziary

Présents : Léo, Jérôme, Daniel et Mathieu
TPST : 2 + 1

Pour la troisième sortie de Léo, nous avons mis au programme l'Aven du Lapin avec ses 25 mètres de verticale, histoire d'augmenter la difficulté progressivement. On se retrouve donc à Vence à 9h et on rejoint Jérôme à Roquefort-Les-Pins à 9h25 précises.

Comme il y a un peu de monde à l'entrée du chemin, nous prenons nos affaires et nous allons nous changer au bord du trou. Nous croisons un premier chasseur sur le chemin et un deuxième est posté quelques mètres avant l'entrée.

Daniel équipe le P25 en double. Il commence à descendre avec Jérôme. Léo descend à son tour et je ferme la marche. Pour faire croire que le trou est grand, Daniel dessine un itinéraire en forme de huit : d'abord le passage en balcon, la remontée, la descente dans le boyau, le retour au balcon, la descente de l'autre côté de la salle vers le départ du puits suivant et remontée au point de départ. L'illusion a l'air de fonctionner.

On peut passer maintenant aux choses sérieuses avec la remontée du P25. Daniel part au sprint. Jérôme a encore sujet à se plaindre de sa tendinite aux avant-bras. Je propose à Léo de faire quatre séries avant de manger, mais il n'est pas d'accord. Nous sortons donc à midi moins dix et nous mangeons sur place.

Jérôme nous abandonne et nous allons à l'Aven Alziary en guise de dessert. La visite est relativement vite faite. Dans la deuxième salle, il y a une grande quantité de Chauve-Souries. Pour changer, je sors le premier et je confie Léo à la surveillance de Daniel. Il sortira en dernier à deux heures moins dix.

Mathieu

11 oct. 2015

Week-end Franc-comtois & Jurassien



Petit week end avec les amis du SCVesoul avec un samedi "environnement" et un dimanche "explo".

Samedi 10 octobre - Gouffre des Ravières et Gouffre de Foye (Doubs - 25)
Présents : Jean Luc Géral (SCVesoul) & Florian (CSTroglos)
TPST : 2h30 & 1h30


On attaque la matinée par le gouffre des Ravières, que j'avais exploré l'année dernière avec Nanard (du même club). Très originale par son entrée : une voûte complètement maçonnée pour éviter que les vaches ne tombent dedans (y en a qui ont quand même du essayer le saut à l'élastique avant la construction de la voûte, vu le nombre d'os en bas !) surplombant un P18 et une vaste salle ! Tout connaisseur de gouffres et avens sait que : Vache + P20 = Splash !
JL (comprenez Jean-Luc) souhaitait attraper le soleil à travers la lucarne d'entrée ! Et c'est mission accomplie ! (les photos arriveront dans la semaine... j'espère).
On reste faire encore un peu de photos dans la zone d'entrée puis allons dans la 2nde salle de 30m de diamètre. On éclaire pas grand chose avec nos lampes et les essais photos avec 3 flashs ne seront franchement pas concluants... Déçu du résultat, on fait marche arrière et remontons !
Ah oui, les Ravières : P18, 2 superbes grandes salles.. et basta !!! Mais ça vaut le coup en couplant avec une autre cavité sur la journée (par exemple, le gouffre des Âges avec son sublime P38 d'entrée qui s'évase).
Dehors, 4 chevaux viennent nous voir, curieux de voir 2 têtes sortir de sous terre.

Retour à la voiture et on fait la route vers Foye, où on cassera la croûte sur le parking.
On ne descendra que le puits d'entrée (P28) et ferons également de la photo avec des accessoires sur place (photos photos... bientôt !).
Aucune autre salamandre ne sera vue (alors qu'il y en a plusieurs d'habitude). Mais 4 chauves souris sont là, bien jolies et avec une doudoune.
Retour tranquille sur Vesoul après une bonne bière belge, on prépare le matos pour le lendemain et regardons les photos de la journée.



Dimanche 11 octobre - Gouffre du Gros Gadeau (Jura- 39)
Présents : Jean Luc Géral & Bernard Détouillon - alias Nanard (SCVesoul) & Florian (CSTroglos)
TPST : 4h30


This time, let's go in Jura ! On hésitait entre la Légarde (Doubs) et le Gros Gadeau, mais le 2nd étant plus axé sur ma route de retour et Nanard ne connaissant pas la cavité non plus, on s'est bloqués ce choix.
Perte active, on profite de cette période assez sèche pour découvrir cette succession de puits toujours guidée par l'eau (je n'ose imaginer en crue !). J'équipe toute la descente en alternant les broches et spits foireux... Cette cavité est sur-spitée et il y en a malheureusement peu qui sont bons ! On atteint le siphon assez rapidement et sortons le matos photo... Et qui c'est qui a pas rechargé son appareil photo ? 
On fera avec l'APN tout terrain de Jean Luc, pas évident vu que l'on ne peut rien régler dessus. Quelques clichés donc et on remonte en alternant pause photos et découvertes animales (niphargus, sangsue...). Nanard déséquipera ; même avec un filet d'eau faible, on est trempés lors de la remontée. Bien content de faire de l'alternatif dès que possible !
On passe la tête dehors vers 16h30 et viens l'heure du repas !!! Miam miam glou glou et c'est reparti direction Lyon ! Petit arrêt crêpe chez Raph et Lolotte (CST), mais je tiendrai pas longtemps avec la fatigue.

Lien vers les photos : ici !

Florian

4 oct. 2015

Aven Cresp

Présents : Ondine, David, Léo, Daniel et Mathieu
Temps de présence sous l'arbre et temps de présence sous terre : environ 5h30

Aujourd'hui nous avons programmé l'initiation sur corde de Léo. Notre choix s'est donc porté sur le Cresp qui est particulièrement adapté pour ces cas-là. Et l'occasion faisant le larron, Ondine en a profité pour convoquer David à une initiation librement consentie.

Pour une sortie comme ça, nous avons effectué une planification toute militaire. Le rendez-vous est à 9h00 précise à Vence, puis sachant qu'il faut 35 minutes pour monter au Col de l'Ecre, à 9h30 sur place pour les autres.

Je parts donc à 9h de chez moi, suivant le principe qu'il faut toujours partir à l'heure à laquelle on doit arriver, et je retrouve Daniel et Léo sur le parking deux minutes plus tard. On charge la voiture et on décolle vers 9h10. Au milieu des Gorges du Loup, un SMS fait biper le portable, mais comme je suis un conducteur sérieux et qu'il y a des rochers à éviter, je ne me laisse pas perturber. On arrive au Col vers 9h45 et on ne trouve personne sur place. Il va donc falloir lire le SMS : 9h31 "On va être en retard...".

Je cherche donc un peu de réseau de l'autre côté de la route et je prépare une réponse dans style "pour faire pire que nous...". Une fois la réponse envoyée, je vois Ondine et David qui reviennent du Cresp avec leurs sacs. Ne voyant personne, ils ont couru là-bas pour essayer de nous rattraper et ils sont revenus bredouilles.

Maintenant que tout le monde est là, nous prenons les affaires dans le coffre et nous rejoignons l'entrée du trou. Nous équipons nos trois invités avec le matériel du club. Puis nous commençons les explications avec une corde attachée à une branche du pin, qui permet une descente de 40 cm. Vers midi, nos deux débutants ont fini de travailler les manipulations de corde à leur guise et nous allons manger au soleil.

La visite de la cavité tient donc lieu de dessert. Comme d'habitude, le puits d'entrée est équipé en double. Nous descendons en binôme avec nos débutants, d'abord David avec Daniel, puis Ondine qui n'a plus besoin de personne, et Léo avec moi-même qui fermons la porte et la marche.

Nous faisons le parcours d'initiation classique : le boyau à gauche avant le deuxième puits, le passage en vire au-dessus du Puits du Lapin. On descend la Galerie du Rasoir. Les Champs Enlisés sont bien pleins après les pluies d'hier, personne n'est partant pour les passer. On fait le tour de la dernière salle et on remonte au Puits du Lapin pour aller visiter la Grande Galerie. On fait l'aller-retour et nous repartons au puits d'entrée pour voir comment nos débutants se débrouillent avec la remontée.

Daniel étant quelqu'un de prévoyant, il a déjà installé une poulie-frein au cas où. La menace est dans l'air, mais nous n'auront pas besoin de l'employer. Tout le monte remonte sans laisser échapper la moindre plainte.

On peut donc déséquiper et aller se changer au soleil tranquillement par cette belle journée. Les initiés sont contents de leur sortie et sont prêts à continuer. Le Cresp est un trou très vendeur.

Mathieu

1 oct. 2015

Bilan du mois de Septembre 2015

En Septembre 2015, il y eu 12 sorties club :

Secteur de Vence :

  • Source à Léo, 157 U8, D. 72m : 2
  • Grotte du Cocon, P. -17m D. 67,50m : 3
  • Forum des associations

Secteur de Roquefort :

  • Embut du Debram, 105 F1 : 3
Transformation du laminoir aquatique de -50 en tunnel, sur une longueur de 8m, pour l'accès à la grande salle.

Secteur de Gourdon :

  • Baume des Caranques (initiation club) : 1

Secteur de Saint Cézaire :

  • Aven Léo, calibrage du boyau de -110 (Frédéric, Daniel) : 1

Secteur de Grenoble :

  • Cuves de Sassenage, visite touristique : 1
  • Gorges du Bruyant (Engins), visite d'une exsurgence en laminoir sur 20m : 1

Secteur de Saint Jeannet :

  • Fête du PNR, stand avec Association Baume Obscure et Groupe Spéléo Garagalh : 1
Daniel

[Sur le Web] Son Doong en 360 degrés

Quelques belles images en 360 degrés pour rêver un peu :