21 mai 2014

Baume des Caranques

Présents : Chris D. (ASBTP) & Flo (GSV)
TPST : 5h

On se donne RDV à 9h au parking des Caranques - Revest avec Chris pour faire une séance photo. Chris me prévenant qu'il sera en retard, je pars 10 minutes plus tard... pour arriver à l'heure. J'ai un souci de timing des fois. 

On se prépare tranquillement avec café et petit brownie, en se racontant nos dernières sorties. Certaines ont été plus marquantes : le boitier de piles du casque de Chris n'a pas apprécie le canyon de la veille, il est plein de flotte. Heureusement qu'il a un second éclairage. On attaque la marche d'approche pour arriver à la cavité à 10h30. La montée a été chaude et douloureuse, les jambes ne suivent pas aujourd'hui.

Le temps de se préparer, on entre sous terre avant 11h. Chris ne connait pas la cavité, alors je joue au guide. On fait un rapide tour jusqu'à la fin de la première grande galerie, on repère les endroits à photographier et on revient aux kits laissés en début de galerie.
On prépare les flashs, retirons le balisage pour avoir un meilleur rendu et attaquons la séance. On fait plusieurs essais, migrons petit à petit vers la méduse mais les cellules des flashs ne partent pas toujours. On fait une pause déjeuner - bière assez tardivement ; le temps file quand on s'occupe à trouver la bonne lumière, le cadrage idéal, etc.

On reprend en tentant un contre-jour dans la basse galerie concrétionnée ainsi que dans la portion suivante... mais ça foire pas mal. Les cellules sont de plus en plus capricieuses. Les photos en portrait fonctionnent, mais pas en paysage... why ? On n'en saura rien ! Même sans obstacle, les flashs partent quand ils le veulent. Ça finit par nous agacer (au bout d'un long moment tout de même) et on continue notre route vers le fond.
On laisse le matos photo après l'étroiture, la dernière portion de la cavité, bien que volumineuse, n'a pas un grand intérêt visuellement. Et les flashs ne sont certainement pas assez puissants pour avoir un rendu correct. Puis demi-tour.
En chemin, on fait encore des photos avec des modifications des plans "classiques" de la photographie souterraine (cf. photo ci-contre). Après avoir épuisé nos batteries (lampes, déclencheurs, flashs), on remet les rubalises en place, on range le matos et on file dehors pour retrouver le soleil et les petits êtres de la forêt. La descente est vraiment plus simple et moins fatigante. Faut juste éviter de se faire une cheville... Me suis déjà bloqué le genou contre un bloc...
Arrivée aux voitures vers 16h30, pile pour le gouter ! Super synchro ! On go à 17h en contemplant la belle météo et les premiers touristes...

Florian

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